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D閏ouvrir ce qui se passe ?l'OMC
NOUVELLES: NOUVELLES 2001

COMIT? DES MESURES SANITAIRES ET PHYTOSANITAIRES, 10?1 JUILLET 2001

Le Comit?SPS discute de la fi鑦re aphteuse, de l'ESB et de l'閝uivalence



A la r閡nion des 10 et 11 juillet 2001 du Comit?des mesures sanitaires et phytosanitaires, l'UE a exhort?les autres Membres de l'OMC ?prendre des mesures commerciales davantage conformes aux donn閑s scientifiques et aux normes internationales maintenant que ses probl鑝es de fi鑦re aphteuse diminuaient. Le Comit?a 間alement examin?d'autres questions sp閏ifiques telles que la maladie de la vache folle (ESB) et l'撻quivalence?des mesures sanitaires et phytosanitaires, aussi examin閑 par le Conseil g閚閞al dans le cadre de la mise en oeuvre des Accords de l'OMC existants.


IL S'AGIT D'UN RESUME NON OFFICIEL ELABORE PAR LA DIVISION DE L'INFORMATION ET DES RELATIONS AVEC LES MEDIAS DU SECRETARIAT DE L'OMC POUR AIDER LE PUBLIC A COMPRENDRE CE QUI S'EST PASSE PENDANT LA REUNION. SEUL LE RESUME OFFICIEL DETAILLE (ANALOGUE A UN COMPTE RENDU) DU SECRETARIAT FAIT AUTORITE.



?b>Mesures sanitaires et phytosanitaires? = mesures ou normes concernant la s閏urit?sanitaire des produits alimentaires, la sant?des animaux et la pr閟ervation des v間閠aux

> Pour en savoir plus sur les mesures sanitaires et phytosanitaires

  

VOIR AUSSI:
Communiqu閟 de presse
Nouvelles
Allocutions: Mike Moore


Les questions suivantes ont notamment donn?lieu ?des discussions plus approfondies:


Fi鑦re aphteuse  haut de page

Cette question a 閠?examin閑 au titre de diff閞ents points de l'ordre du jour. L'UE a fait le point sur la situation dans ses 蓆ats Membres. Au Royaume-Uni, le nombre de nouveaux cas avait fortement diminu? passant du niveau record de plus de 40 par jour ?un nombre ?un seul chiffre. Il n'y avait pas eu de nouveaux cas en Irlande et en France depuis avril (l'閜id閙ie dans ces deux pays 閠ait li閑 aux importations en provenance du Royaume-Uni), et en juin, les deux pays avaient retrouv?leur statut de 損ays exempt?de fi鑦re aphteuse. Aux Pays-Bas, la vaccination avait stopp?la propagation et le pays avait retrouv?son statut de 損ays exempt?en ao鹴.

> Pour en savoir plus: site Web de la Commission europ閑nne

L'UE a dit qu'elle comprenait les mesures d'urgence prises par ses partenaires commerciaux mais elle jugeait d閟ormais inacceptables les restrictions appliqu閑s aux produits en provenance de l'ensemble de l'UE ou aux produits qui ne transmettaient pas la maladie. L'UE a exhort?les pays ?suivre les recommandations de l'Office international des 閜izooties (OIE, qui est l'Organisation mondiale charg閑 de la sant?animale) et ?n'appliquer leurs mesures qu'aux produits provenant de r間ions o?le risque existait et non de l'ensemble de l'UE.

Les mesures de contr鬺e aux fronti鑢es int閞ieures supprim閑s dans le cadre du march?unique europ閑n, ont 閠?remplac閑s par des contr鬺es plus stricts et une surveillance de l'origine des animaux et des produits, et il 閠ait donc faux de dire que le transport ? travers le territoire de l'Union pouvait faciliter la propagation de la maladie.

L'UE a demand?au Comit?nbsp;SPS de se prononcer fermement contre les mesures 搃njustifi閑s?et de ne pas cr閑r un pr閏閐ent en les tol閞ant.

De m阭e, l'Argentine s'est dite pr閛ccup閑 par les mesures prises ? l'間ard de ses produits en raison des cas de fi鑦re aphteuse constat閟 dans certaines parties du pays. L'Uruguay a lui aussi dit que les restrictions frappant certains produits comme les produits laitiers UHT (ultra haute temp閞ature) 閠aient injustifi閑s.

Certains pays, comme les 蓆ats-Unis et l'Australie, ont dit qu'ils avaient impos?des restrictions afin de pr関enir les risques que repr閟entait cette maladie grave, mais qu'ils surveillaient la situation et adaptaient leurs mesures. Les 蓆ats-Unis ont dit qu'? l'heure actuelle, les restrictions visaient les produits en provenance du Royaume-Uni, de l'Irlande, de la France et des Pays-Bas. Ils ont f閘icit?l'UE pour son action 閚ergique et rapide.

L'Australie a dit qu'elle devait prot間er son troupeau de 120 millions d'ovins mais qu'elle avait lev?les restrictions sur les produits en provenance de l'Autriche et du Danemark et examinait la situation avec les fonctionnaires fran鏰is.

L'Afrique du Sud a inform?le Comit?des r閏ents cas de fi鑦re aphteuse constat閟 sur son territoire. L'Indon閟ie a critiqu?une interdiction impos閑 par le Japon sur les plumets de la canne ? sucre (utilis閟 comme aliment pour animaux) ?cause d'un risque de fi鑦re aphteuse - elle a dit que l'OIE l'avait d閏lar閑 exempte de la maladie et a soulign?que les plumets de la canne ?sucre ne pouvaient pas transmettre la fi鑦re aphteuse. Le Japon a r閜ondu qu'il attendait que l'Indon閟ie lui communique des renseignements additionnels.



Maladie de la vache folle haut de page

L'enc閜halopathie spongiforme bovine (ESB ou maladie de la vache folle) a aussi 閠?examin閑 au titre de plusieurs points de l'ordre du jour. L'UE a inform?le Comit?que de nouvelles r間lementations sur l'enc閜halopathie spongiforme transmissible (EST, groupe plus vaste d'affections c閞閎rales d間閚閞atives pouvant 阾re transmises d'un individu ou d'une esp鑓e ?l'autre, et qui inclut l'ESB) 閠aient entr閑s en vigueur le 1er juillet. Elles comprenaient une classification des pays, tant membres que non-membres de l'UE, en fonction du risque classification qui 閠ait inspir閑 de celle de l'OIE. Les mesures concernaient les importations, les exportations et le commerce intra-UE.

> Pour en savoir plus: site Web de la Commission europ閑nne

Les pays qui s'estimaient exempts d'ESB, en particulier le Canada et les 蓆ats-Unis, ont remis en cause la m閠hode suivie par l'UE pour 関aluer au niveau r間ional le risque d'ESB. L'Australie et la Nouvelle-Z閘ande ont dit que les mesures d'urgence qu'elles avaient r閏emment prises seraient bient魌 remplac閑s par des mesures plus permanentes.

Le P閞ou, le Chili et les 蓆ats-Unis se sont dits pr閛ccup閟 par les restrictions impos閑s par l'UE ?l'utilisation de la farine de poisson comme aliment pour les ruminants (ovins, bovins, etc.). Ils ont fait valoir que l'interdiction 閠ait injustifi閑 car la farine de poisson ne transmettait pas l'ESB. Le Chili a indiqu?que sa farine de poisson 閠ait fabriqu閑 ?partir de poissons sauvages. Le P閞ou a dit que les restrictions cr閍ient du ch鬽age.

L'UE a dit qu'elle examinait toujours la r間lementation et tentait d'en minimiser les effets sur le commerce. Il 閠ait n閏essaire d'agir prudemment afin d'関iter une contamination crois閑 avec d'autres ingr閐ients entrant dans l'alimentation des animaux. La farine de poisson n'閠ait pas interdite mais son utilisation dans l'UE 閠ait soumise ?des conditions rigoureuses; par exemple, elle pouvait 阾re utilis閑 pour les animaux non ruminants si elle 閠ait produite dans des usines sp閏ialis閑s, etc.



Autres questions sp閏ifiques haut de page

Les autres questions examin閑s ont notamment 閠?les suivantes:

  • Pr閟ence de 3-MCPD dans la sauce de soja: l'ANASE s'est r閖ouie de l'annonce par l'UE de l'application prochaine de teneurs maximales moins rigoureuses.
  • Les 蓆ats-Unis, la Nouvelle-Z閘ande et le Chili ont contest?les restrictions appliqu閑s par le Japon aux pommes pour lutter contre la maladie du feu bact閞ien, car, selon eux, les recherches scientifiques montraient que le risque de transmission 閠ait n間ligeable.
  • L'UE a critiqu?les mesures 搇ongues et compliqu閑s?que les 蓆ats-Unis imposaient ?l'importation de plantes en pot.
  • L'蓂uateur a dit qu'il avait le sentiment que la certification des importations de bananes par la Turquie 閠ait destin閑 ? prot間er les bananes d'origine nationale pendant la p閞iode de r閏olte.
  • La Bolivie, appuy閑 par le Br閟il, le Chili, l'Argentine et l'Inde, a continu?de contester les teneurs maximales en aflatoxines autoris閑s par l'UE dans les noix du Br閟il et les autres noix.
  • Les 蓆ats-Unis, soutenus par l'UE et l'ANASE, ont continu?de se plaindre du temps qu'il fallait ?l'Australie pour autoriser les importations de raisins de table californiens. L'Australie a dit qu'elle devait 関aluer les risques induits par la cicadelle 揾omalodisca coagulata? Les 蓆ats-Unis ont dit que ces parasites se nourrissaient de raisins de table et vivaient et d閜osaient leurs 渦fs sur ces raisins, qui en 閠aient ainsi le 搗閔icule?

Douze autres points ont 閠?soulev閟 au titre des 揳utres questions? et seront peut-阾re examin閟 de mani鑢e plus approfondie ult閞ieurement.



Equivalence 
(question aussi examin閑 par le Conseil g閚閞al au titre de la 搈ise en 渦vre?dans le cadre de la pr閜aration de la Conf閞ence minist閞ielle de Doha) haut de page

Il s'agit de la reconnaissance par les pays du fait que diff閞entes mesures peuvent 阾re 閝uivalentes si elles assurent le m阭e niveau de protection sanitaire contre les risques de maladie ou de contamination.

Les discussions sur cette question se sont poursuivies. Le Secr閠ariat a 閠abli une liste des id閑s d閖?soumises, et a identifi?cinq questions: le point de savoir si la mesure exig閑 dans un pays exportateur doit 阾re la m阭e que celle qui est appliqu閑 dans le pays importateur, la charge administrative d閏oulant des accords de reconnaissance de l'閝uivalence, le 搉iveau appropri?de protection? l'harmonisation au niveau international, et la transparence et la confiance.

L'Argentine a pr閟ent?un nouveau document qui, entre autres choses, analysait l'閝uivalence sur la base de produits sp閏ifiques plut魌 que sur la base des syst鑝es nationaux de contr鬺e dans leur ensemble.

Une autre r閡nion pourrait 阾re organis閑 ?la fin de juillet ou en septembre afin de mettre au point des id閑s concr鑤es qui seraient communiqu閑s au Conseil g閚閞al.

G閚閞alit閟: Les mesures SPS r閐uisent ?des niveaux acceptables les risques encourus par les consommateurs, les animaux ou les v間閠aux. Les mesures permettant d'obtenir un niveau de risque acceptable sont souvent diff閞entes. Parmi les autres solutions ??supposer qu'elles soient r閍lisables d'un point de vue technique et 閏onomique et assurent le m阭e niveau d'innocuit?des produits alimentaires, de protection de la sant?des animaux ou de pr閟ervation des v間閠aux ?les gouvernements devraient choisir celles qui ne sont pas plus restrictives pour le commerce qu'il n'est requis pour atteindre leur objectif sanitaire. En outre, si un autre pays peut prouver que les mesures qu'il applique offrent le m阭e niveau de protection sanitaire, celles-ci devraient 阾re accept閑s comme 閝uivalentes. Cela permet de garantir que la protection est maintenue tout en assurant un approvisionnement abondant et vari?en produits alimentaires s鹯s pour les consommateurs, les meilleures possibilit閟 d'obtenir des intrants s鹯s pour les producteurs et une concurrence 閏onomique saine. (Accord SPS, article 4.)

Les pays en d関eloppement en particulier disent que les pays d関elopp閟 ne font pas assez d'efforts pour accepter les niveaux de protection assur閟 par les mesures que les pays en d関eloppement appliquent aux produits export閟 comme 閝uivalents ?ceux qu'eux-m阭es exigent. Cette critique figure parmi les nombreux points soulev閟 au Conseil g閚閞al de l'OMC au sujet de la 搈ise en 渦vre?



Cette r閡nion, la deuxi鑝e tenue en 2001, a 閠?pr閟id閑 par M. William Ehler (Uruguay). La prochaine r閡nion aura lieu le 31 octobre et le 1er novembre 2001; une autre session sur l'"閝uivalence" sera peut-阾re organis閑 avant.