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OMC: NOUVELLES 2005

9?0 mars 2005
COMIT?DES MESURES SANITAIRES ET PHYTOSANITAIRES

La r間ionalisation, l'ESB et la fi鑦re aphteuse toujours en t阾e de la liste des questions

?la r閡nion des 9 et 10 mars 2005, les Membres de l'OMC n'ont pas r閡ssi ?s'entendre sur un programme de travail pour la mise en 渦vre du principe de 搑間ionalisation? ?savoir l'obligation pour les gouvernements de reconna顃re des r間ions d'autres pays ou ?cheval sur d'autres pays comme 閠ant une source s鹯e d'importations de produits alimentaires et de produits d'origine animale et v間閠ale, au lieu de fonder leurs mesures sur les seules fronti鑢es nationales.

Les autres points trait閟 par le Comit?sont le dernier examen de l'Accord sur les mesures sanitaires et phytosanitaires (SPS), qui porte sur l'innocuit?des produits alimentaires, la protection de la sant?des animaux et la pr閟ervation des v間閠aux, ainsi que le traitement sp閏ial pour les pays en d関eloppement. Le Comit?entend achever ses rapports sur ces points ?sa prochaine r閡nion, en juin.

La maladie de la vache folle (ESB ou enc閜halopathie spongiforme bovine) et la fi鑦re aphteuse ont 閠??maintes reprises mentionn閑s comme des sujets de pr閛ccupation, tant dans le cadre des questions plus g閚閞ales soulev閑s que dans le contexte des probl鑝es commerciaux plus sp閏ifiques 関oqu閟.

?la suite du dernier r閏apitulatif du Secr閠ariat sur les probl鑝es sp閏ifiques, qui souligne la place pr閜ond閞ante qu'occupent ces deux maladies animales, les 蓆ats-Unis ont fait intervenir leur Ambassadeur tout sp閏ialement pour souligner combien ils 閠aient pr閛ccup閟 par le fait que le Japon continuait d'interdire l'importation de leur viande de b渦f. haut de page

R間ionalisation

(慉daptation aux conditions r間ionales, y compris les zones exemptes de parasites ou de maladies et les zones ?faible pr関alence de parasites ou de maladies?

L'article 6 de l'Accord SPS prescrit aux gouvernements de reconna顃re des r間ions d'autres pays comme 閠ant une source s鹯e d'importations de produits alimentaires, et de produits d'origine animale et v間閠ale, au lieu de fonder leurs mesures sur les seules fronti鑢es nationales. Les r間ions peuvent s'閠endre au-del?des fronti鑢es d'un seul pays ou se situer ? l'int閞ieur de celles-ci.

Apr鑣 les consultations qui ont eu lieu au d閎ut de la semaine, un projet de d閏ision sur la r間ionalisation a 閠?distribu? qui s'inspirait des id閑s des Membres, dont les plus r閏entes 閠aient expos閑s dans les documents du Chili (G/SPS/W/171) et de l'Australie (G/SPS/W/172). Il pr関oyait un programme de travail visant ?am閘iorer la mise en 渦vre de l'article 6 de l'Accord SPS. Il s'agissait, entre autres choses d'inscrire cette question de mani鑢e permanente ?l'ordre du jour des r閡nions du Comit? avec un certain nombre de questions sp閏ifiques qui pourraient conduire ? l'閠ablissement de lignes directrices pour la mise en 渦vre de la r間ionalisation; de rassembler des renseignements sur les avis des Membres concernant la mise en 渦vre de cet article, ainsi que de coordonner les travaux et d'閏hanger les renseignements avec deux grands organismes internationaux ayant leur propre approche de la r間ionalisation, ?savoir l'Organisation mondiale de la sant?animale (OIE) et le Secr閠ariat de la Convention internationale pour la protection des v間閠aux (CIPV) de la FAO.

Dans le cadre de ce d閎at comme au titre d'autres points de l'ordre du jour, plusieurs Membres se sont plaints de mesures prises par d'autres gouvernements contre des produits provenant de n'importe quelle partie de leur territoire, m阭e lorsque les probl鑝es 閠aient localis閟 ailleurs. ? cet 間ard, certains pays se sont dits pr閛ccup閟 par les proc閐ures ind鹠ent longues et difficiles qu'ils devaient suivre pour que des pays importateurs leur reconnaissent le statut de zone exempte de maladies ou de parasites, en particulier apr鑣 une pouss閑 閜id閙ique limit閑.

Le Canada a indiqu?que tous ses produits ?base de poulet avaient 閠? interdits dans certains pays alors m阭e que la grippe aviaire avait touch? une petite partie seulement de la Colombie britannique. L'UE a relev?que certains pays interdisaient les produits en provenance de tous ses pays membres ?cause de la fi鑦re aphteuse, m阭e si certaines zones telles que l'Autriche en 閠aient exemptes depuis 25 ans. Et l'Argentine a une nouvelle fois demand?aux autres pays de reconna顃re qu'une partie de son territoire 閠ait exempt de fi鑦re aphteuse.

Cette question sera une nouvelle fois examin閑 ?la prochaine r閡nion, en juin. Le projet de d閏ision n'a pas 閠?accept?

Le Comit?n'a pas r閡ssi ?arr阾er un programme de travail en raison de divergences de vues entre les Membres sur la question de savoir s'il serait utile pour lui d'閠ablir des lignes directrices. Les pays d'Am閞ique latine 閠aient largement favorables ?cette id閑. D'autres, tels que les 蓆ats-Unis, pr閒閞aient confier cette t鈉he ?l'OIE et ?la CIPV, qui peuvent avoir recours ?des experts techniques et scientifiques. L'UE est favorable ?l'閠ablissement de lignes directrices, mais elle craint que cet exercice ne pousse certains pays ?reporter la mise en 渦vre des mesures r間ionalis閑s jusqu'?l'approbation desdites lignes directrices ?d'apr鑣 elle, la r間ionalisation est d閖?une obligation en vertu de l'article 6.

  

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Traitement sp閏ial et diff閞enci?

(Pour un r閟um?des propositions faites et des discussions engag閑s ?ce jour, voir le document du Secr閠ariat G/SPS/GEN/543)

Ce point fait partie du Programme de Doha et, au titre de la d閏ision du Conseil g閚閞al du 1er ao鹴 2004 (parfois appel閑 揺nsemble de r閟ultats de juillet 2004?, le Comit?SPS doit faire rapport au Conseil g閚閞al d'ici ? juillet 2005.

Le Pr閟ident a indiqu?que les discussions informelles du 8 mars avaient 閠? 搕r鑣 positives et pragmatiques ... avec une participation large et constructive? Ces discussions avaient 閠?centr閑s sur cinq propositions renvoy閑s au Comit?SPS par le Conseil g閚閞al (voir le programme de travail du Comit?SPS dans le document G/SPS/W/135). Mais le Pr閟ident a 間alement mis en 関idence 搖n d閏alage apparent?entre les attentes des pays ayant pr閟ent?ou d閒endu des propositions sp閏ifiques (voir le document mentionn?ci-dessus) et celles des autres pays.

L'approche 損ositive et pragmatique?adopt閑 ?la r閡nion informelle est illustr閑 par le fait que les pays qui avaient plaid?en faveur de la modification de l'Accord SPS 閠aient dispos閟 ?traiter des questions et probl鑝es sous-jacents parce que de nombreux autres pays voulaient, quant ? eux, 関iter de modifier l'Accord. En outre, les pays auteurs de propositions ont pr閏is?que celles-ci devaient 阾re consid閞閑s comme une contribution en vue de discussions futures, et non comme des propositions 撪 prendre ou ? laisser? Les intervenants ont 間alement reconnu que divers faits nouveaux 閠aient intervenus au cours des derni鑢es ann閑s qui avaient partiellement r閜ondu ?certaines des pr閛ccupations qui sous-tendaient les cinq propositions.

Pendant la discussion qui s'est tenue au cours de la r閡nion formelle, le 揹閏alage?entre les attentes des uns et des autres est apparu lorsque le Canada a dit que certaines propositions 閠aient en contradiction avec les affirmations des membres, qui ne voulaient pas priver les gouvernements de leur droit d'introduire des mesures SPS.

Par exemple, le Groupe africain a propos?(TN/CTD/W/3/Rev.2) que, lorsqu'un pays introduit une mesure, il fournisse une assistance technique aux autres pour leur permettre de s'adapter ?cette mesure, ou la retirer imm閐iatement et sans condition. Le Canada a indiqu?que, d'apr鑣 cette proposition, m阭e un pays en d関eloppement qui introduit une mesure devrait fournir une assistance technique ou retirer la mesure. D'apr鑣 lui, surtout, la proposition ne tenait pas compte du fait que les mesures SPS 閠aient des mesures n閏essaires prises pour prot間er la sant?et la s閏urit? par exemple pour emp阠her la propagation de la fi鑦re aphteuse.

  

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Examen de l'Accord SPS

(Pour un r閟um?des questions, voir le document du Secr閠ariat G/SPS/GEN/510/Rev.1)

Il s'agit du deuxi鑝e examen de ce type; en vertu d'une d閏ision prise ?la Conf閞ence minist閞ielle de Doha (Qatar), il faut maintenant proc閐er ?un tel examen tous les quatre ans. (Le premier a eu lieu en 1999.)

Parmi les th鑝es examin閟 dans le cadre des d閎ats informels qui ont eu lieu au d閎ut de la semaine figurent la transparence, la clarification des d閒initions, l'article 8 et l'Annexe C (proc閐ures de contr鬺e, d'inspection et d'homologation), les bons offices de la pr閟idence pour la m閐iation en cas de diff閞end, le rapport entre l'article 2:1 et l'article 5:6 (faire en sorte que les mesures ne soient pas plus restrictives qu'il n'est requis pour obtenir le niveau de protection SPS appropri?, les relations entre le Comit?et les organismes internationaux ?activit?normative, les bonnes pratiques r間lementaires et les retards injustifi閟 (point propos?par l'Uruguay dans le document G/SPS/W/169, dans lequel il s'est dit pr閛ccup?par les proc閐ures longues et compliqu閑s devant 阾re appliqu閑s pour que les importations soient autoris閑s).

Un projet de rapport d'examen, 閠abli sur la base du document du Secr閠ariat G/SPS/GEN/510/Rev.1, sera examin??la r閡nion de juin, au cours de laquelle le Comit?esp鑢e pouvoir adopter ?la fois ledit rapport et un programme de travail qui permettra de traiter les questions soulev閑s.

  

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Assistance technique

Au cours de la discussion sur l'assistance technique, un certain nombre de pays en d関eloppement ont fait part de leur exp閞ience en tant que b閚閒iciaires, indiquant les types d'assistance qui les avaient particuli鑢ement aid??mieux utiliser l'Accord SPS ou ?trouver des d閎ouch閟 pour leurs exportations.

Le Secr閠ariat, plusieurs Membres et diverses organisations internationales ont fait rapport sur leurs activit閟 d'assistance technique li閑s aux mesures SPS. M阭e si ses activit閟 consistent avant tout ?donner aux fonctionnaires une formation sur les droits et obligations de leur gouvernement dans le cadre de l'Accord SPS et sur les proc閐ures et pratiques de l'OMC en la mati鑢e, le Secr閠ariat g鑢e aussi le nouveau M閏anisme pour l'閘aboration des normes et le d関eloppement du commerce (MENDC). Ce fonds, qui a 閠?閠abli conjointement avec la FAO, l'OMS, la Banque mondiale et l'OIE et est aliment?par divers pays donateurs, finance les projets de renforcement des capacit閟 li?aux mesures SPS.

  

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Probl鑝es commerciaux sp閏ifiques: la discussion

Maladie de la vache folle (ESB). Les 蓆ats-Unis ont indiqu?que les restrictions que le Japon continuait ?appliquer ?leur viande de b渦f constituaient pour eux un sujet de pr閛ccupation 揺xceptionnel ... s閞ieux et urgent?

L'Ambassadeur des 蓆ats-Unis a indiqu?qu'un seul cas d'ESB avait 閠? diagnostiqu?aux 蓆ats-Unis, sur une vache de huit ans import閑 du Canada. Depuis ce diagnostic remontant ?d閏embre 2003, les 蓆ats Unis avaient introduit un certain nombre de mesures et renforc?les sauvegardes destin閑s ?emp阠her l'ESB de s'introduire et de se propager. Ils avaient 間alement men?une enqu阾e 閜id閙iologique exhaustive, 閠abli un groupe d'examen et d'関aluation au niveau international et soumis 260 000 b阾es, ?ce jour, ? des tests qui avaient tous donn?des r閟ultats n間atifs.

Les 蓆ats-Unis ont dit que, en octobre 2004, ils 閠aient convenus avec le Japon d'un cadre pour la reprise des 閏hanges, mais que l'interdiction japonaise perdurait. Ils invitaient donc instamment ce pays ?intervenir imm閐iatement pour supprimer cette interdiction.

Le Japon a indiqu?qu'il avait examin?de bonne foi les sujets de pr閛ccupation des 蓆ats-Unis ?tous les niveaux du gouvernement. Le cadre d'octobre 2004 convenu avec les 蓆ats-Unis pr関oyait que les 閏hanges reprendraient lorsqu'une expertise aurait 閠?men閑 au niveau national. La d閘間ation a indiqu?que cette expertise 閠ait maintenant en cours et que le Japon rendrait compte des progr鑣 r閍lis閟.

Le Canada et les 蓆ats-Unis ont 間alement d閏rit en d閠ail les mesures qu'ils avaient prises concernant l'ESB, y compris le fait que les 蓆ats-Unis avaient d閟ign?le Canada comme 閠ant une r間ion ?risque minime. L'UE a indiqu?qu'elle n'avait pas modifi?sa politique concernant les importations en provenance du Canada et des 蓆ats-Unis parce qu'elle reconnaissait que les contr鬺es effectu閟 par ces deux pays 閠aient suffisamment bons pour garantir que les produits pouvaient 阾re commercialis閟 sans danger. Elle a instamment demand?aux deux pays en question de reconna顃re que ses propres m閠hodes de contr鬺e 閠aient ?la pointe de la technique et elle a engag? les 蓆ats-Unis ?faire de m阭e en lui accordant le statut de r間ion ?risque minime.

Autres questions. Parmi la longue liste d'autres probl鑝es sp閏ifiques soulev閟, il y a: les probl鑝es concernant la mise en 渦vre d'une nouvelle norme internationale applicable aux produits d'emballage en bois; le projet de nouvelles r鑗les d'hygi鑞e appliqu閑s par les CE aux denr閑s alimentaires et aux aliments pour animaux; les nouvelles teneurs minimales pour les r閟idus de pesticides, les m閐icaments v閠閞inaires et les additifs alimentaires propos閑s par le Japon; les restrictions impos閑s par le Guatemala ?l'importation de viande de poulet et d'avocats; les proc閐ures d'inspection et d'essai appliqu閑s par la Gr鑓e au bl? les restrictions impos閑s par l'Australie aux raisins; les nouvelles r鑗les de la Tha飈ande concernant l'innocuit?des produits alimentaires; et la situation de divers pays en ce qui concerne la fi鑦re aphteuse. Des plaintes ont 閠?formul閑s par exemple au sujet des mesures pr閠endument trop strictes, sans fondement scientifique ou potentiellement discriminatoires ?l'間ard des importations. Des consultations bilat閞ales ont permis de r間ler certains probl鑝es et les parties concern閑s ont fait rapport ?cet 間ard.

  

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PROBL萂ES COMMERCIAUX SP蒀IFIQUES: R蒀APITULATIF DU SECR蒚ARIAT

(Document G/SPS/GEN/204/Rev.5 et Add.1?)

La sant?animale, et en particulier la maladie de la vache folle (ESB) et la fi鑦re aphteuse, ont domin?dix ann閑s de discussions au Comit?SPS, comme l'indique le Secr閠ariat dans son dernier r閏apitulatif des probl鑝es commerciaux sp閏ifiques. La 搒ant?animale et les zoonoses?repr閟entent 40 pour cent des probl鑝es soulev閟 depuis que le Comit?a commenc?ses travaux en 1995; ?l'int閞ieur de cette cat間orie, la maladie de la vache folle (plus pr閏is閙ent l'enc閜halopathie spongiforme transmissible ou EST) repr閟ente 40 pour cent en tout des cas soulev閟 et la fi鑦re aphteuse 25 pour cent. (En 2004, la sant?animale et les zoonoses ont repr閟ent?37 pour cent des probl鑝es 関oqu閟, dont 48 pour cent pour l'EST et 32 pour cent pour la fi鑦re aphteuse.)

Pendant les p閞iodes de dix ans, la pr閟ervation des v間閠aux a 閠?関oqu閑 dans 29 pour cent des cas (31 pour cent en 2004), l'innocuit?des produits alimentaires dans 27 pour cent des cas (26 pour cent en 2004), et les autres sujets (comme la transparence) dans 4 pour cent des cas (6 pour cent en 2004). Sur les 204 questions soulev閑s au cours des neuf premi鑢es ann閑s, 56 avaient 閠?notifi閑s comme ayant 閠?r間l閑s avant la fin de l'ann閑 derni鑢e, 15 avaient 閠?partiellement r間l閑s et 133 n'avaient fait l'objet d'aucune solution notifi閑.

Il est indiqu?dans le document du Secr閠ariat que les pays en d関eloppement ont jou?un r鬺e actif. Au cours de ces dix ann閑s, 101 questions ont 閠? soulev閑s par ces pays (parfois par plusieurs d'entre eux) contre 143 par des pays d関elopp閟 et deux par des PMA.

La derni鑢e mise ?jour annuelle se compose de quatre parties: un tour d'horizon de 18 pages (G/SPS/GEN/204/Rev.5); les questions soulev閑s pour la premi鑢e fois en 2004 (G/SPS/GEN/204/Rev.5/Add.1); les questions soulev閑s au cours des neuf premi鑢es ann閑s mais dont la solution n'a pas 閠?notifi閑 et qui n'ont pas 閠?soulev閑s ?nouveau en 2004 (G/SPS/GEN/204/Rev.5/Add.2); et les questions dont la solution a 閠? notifi閑 avant 2004 (G/SPS/GEN/204/Rev.5/Add.3).

  

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Prochaine r閡nion

29-30 juin 2005, mais les dates pourraient 阾re modifi閑s

  

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Pour en savoir plus ?

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Documents de l'OMC
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Pr閟ident: M. Gregg Young, 蓆ats-Unis