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D閏ouvrir ce qui se passe ?l'OMC
NOUVELLES:  COMMUNIQU?DE PRESSE 2002

PRESS/300
28 juin 2002

Les n間ociations sur les services offrent de r閑lles possibilit閟 ?tous les Membres de l'OMC et surtout aux pays en d関eloppement

Les n間ociations de l'OMC sur le commerce des services sont parvenues ? une 閠ape cruciale, celle o?les gouvernements Membres pr閟entent ?leurs partenaires commerciaux des demandes de lib閞alisation. Dans les semaines ?venir, il y aura d'importantes r閡nions sur les services qui feront encore progresser les n間ociations. Les gouvernements, qui repr閟entent des pays se trouvant ?tous les niveaux de d関eloppement, attachent beaucoup d'importance ?ces n間ociations car les services jouent un r鬺e essentiel, de plus en plus grand, dans l'閏onomie mondiale et parce que tous les pays peuvent retirer des avantages 閏onomiques consid閞ables de la croissance du commerce des services. D'apr鑣 les r閟ultats de nombreuses 閠udes, ce sont les pays en d関eloppement qui ont le plus ?gagner de la lib閞alisation du commerce des services.

Ces n間ociations ont parfois 閠?d閏rites de mani鑢e inexacte comme visant ?encourager la lib閞alisation ou la privatisation de services publics parmi lesquels la sant? la distribution d'eau et l'閐ucation. Cela est faux. En r閍lit? ces secteurs font rarement l'objet de n間ociations, qui portent principalement sur d'autres secteurs de services.

La note d'information ci-dessous pr閟ente des statistiques sur l'importance des services pour l'閏onomie mondiale et l'閠at des n間ociations sur les services ainsi que des pr関isions des avantages 閏onomiques que procurerait une plus grande lib閞alisation.

haut de page

Statistiques sur la lib閞alisation du commerce des services 

  • La lib閞alisation des services dans les pays en d関eloppement pourrait g閚閞er pour ces pays jusqu'?6 000 milliards de dollars de revenu additionnel d'ici ?2015, soit quatre fois ce que rapporterait la lib閞alisation du commerce des marchandises (d'apr鑣 le rapport de la Banque mondiale intitul?揚erspectives 閏onomiques mondiales et pays en d関eloppement?2001).
  • Entre 1990 et 2000, la croissance de la production de services mondiale 閠ait de 2,9 pour cent, le double de celle de l'agriculture, qui n'閠ait que de 1,4 pour cent. En cons閝uence, la contribution du secteur des services au produit int閞ieur brut mondial 閠ait de 64 pour cent en 2000, contre 57 pour cent en 1990 (d'apr鑣 l'閐ition 2001 des 揑ndicateurs du d関eloppement dans le monde?de la Banque mondiale).
  • Les services repr閟entent ?l'heure actuelle pr鑣 de 50 pour cent ou plus de la production dans les pays en d関eloppement des r間ions suivantes: Europe et Asie centrale, Am閞ique latine et Cara颾es, Moyen-Orient et Afrique du Nord, Asie du Sud et Afrique subsaharienne (d'apr鑣 l'閐ition 2001 des 揑ndicateurs du d関eloppement dans le monde?de la Banque mondiale).
  • Entre 1990 et 2000, la croissance des exportations de services commerciaux a 閠?plus rapide pour les pays en d関eloppement (9 pour cent) que pour les des pays d関elopp閟 (5,5 pour cent). Les 49 pays les moins avanc閟 ont 間alement connu une croissance des exportations de services commerciaux particuli鑢ement forte (6,3 pour cent) (statistiques de l'OMC).
  • Vingt-cinq pays en d関eloppement tirent des exportations de services commerciaux plus de la moiti?de leurs recettes d'exportation totales (statistiques de l'OMC).

  
蓆udes sur les avantages de la lib閞alisation des services haut de page

De nombreuses 閠udes ont 閠?effectu閑s sur les r閜ercussions de la lib閞alisation du commerce des services. Bien que chacune d'entre elles utilise un sc閚ario diff閞ent pour 関aluer les avantages de la lib閞alisation, elles montrent toutes que les avantages 閏onomiques pouvant 阾re retir閟 de la lib閞alisation des services sont largement sup閞ieurs ?ceux de la lib閞alisation du commerce des marchandises. De plus, toutes les 閠udes prouvent que les pays en d関eloppement seraient les principaux b閚閒iciaires d'une telle lib閞alisation.

Selon le rapport de la Banque mondiale intitul? 揚erspectives 閏onomiques mondiales et pays en d関eloppement?(2001)

  • La lib閞alisation des services dans les pays en d関eloppement pourrait g閚閞er pour ces pays jusqu'?6 000 milliards de dollars de revenu additionnel entre 2005 et 2015.
  • Les services 閠ayent les efforts de d関eloppement 閏onomique car une fourniture de services plus efficace dans le domaine de la finance, des t閘閏ommunications, du transport et des services professionnels aux entreprises a des effets d'entra頽ement importants.
  • La Banque souligne l'importance d'une gestion publique efficace des programmes de lib閞alisation, y compris l'閘imination des obstacles ?l'entr閑 de nouveaux concurrents, les politiques de r間lementation et la lev閑 des restrictions ?l'exportation.
  • Selon les estimations de la Banque, les pays qui ont enti鑢ement lib閞alis?le commerce et l'investissement dans les secteurs de la finance et des t閘閏ommunications ont connu une croissance en moyenne de 1,5 pour cent plus rapide que les autres pays au cours de la derni鑢e d閏ennie.
  • Des pratiques comme la part de cargaison r閟erv閑, l'imposition de limites ?la fourniture de services portuaires et la tarification collective appliqu閑 par les compagnies maritimes provoquent une hausse des taux de fret pouvant aller jusqu'?25 pour cent sur certains itin閞aires.
  • Au Br閟il, en raison de l'inefficacit?des services de conteneurs, le prix des services douaniers, de l'entreposage, du transport int閞ieur et des services portuaires est deux fois plus 閘ev?que la moyenne mondiale.
  • La lib閞alisation des services au titre de l'Accord g閚閞al sur le commerce des services peut donner un 閘an aux politiques nationales et les rendre plus cr閐ibles ainsi qu'augmenter l'acc鑣 aux march閟 des pays industrialis閟.

Selon l'Universit?du Michigan (1)

  • Une r閐uction de 33 pour cent des obstacles au commerce des services devrait permettre d'augmenter le bien-阾re 閏onomique mondial de 389,6 milliards de dollars, ce qui d閜asse les gains estim閟 ? 210,7 milliards de dollars de la lib閞alisation des produits manufactur閟.

  
  
蓆at d'avancement des n間ociations sur les services haut de page

  • Cinquante-cinq gouvernements Membres de l'OMC ont pr閟ent?des propositions 閏rites, soit individuellement soit conjointement (Communaut閟 europ閑nnes, Communaut?andine, MERCOSUR, et d'autres).
  • Une majorit?(32) des 55 gouvernements ayant pr閟ent?des propositions repr閟ente des pays en d関eloppement.
  • Parmi les secteurs vis閟 figurent: les services professionnels (18 propositions repr閟entant 20 Membres), le tourisme (14 propositions), les services de t閘閏ommunication et de transport (12 propositions pour chaque secteur), les services financiers (onze propositions) et la distribution (dix propositions).
  • Trois des propositions ont trait au secteur de l'閐ucation.
  • Les services m閐icaux et les services de sant?n'ont encore jamais 閠?関oqu閟.
  • Le r閑l int閞阾 que les pays en d関eloppement portent ?ces n間ociations ne se manifeste pas seulement par le nombre 閘ev?de propositions de n間ociation, mais aussi par une forte demande d'assistance technique du Secr閠ariat de l'OMC. En 2002, la Division du commerce des services a re鐄 des pays en d関eloppement et des pays les moins avanc閟 plus de 60 demandes en vue de l'organisation de s閙inaires et ateliers sur les services. De plus, deux symposiums, l'un sur l'関aluation du commerce des services et l'autre sur le mouvement des personnes physiques au titre de l'AGCS, ont 閠?organis閟 pour les Membres de l'OMC ?Gen鑦e d閎ut 2002. On peut consulter tous les documents qui ont 閠?examin閟 dans ce cadre sur le site Internet de l'OMC ?l'adresse suivante: 搘ww.2n2y.com?

  
  
Principes des n間ociations sur les services - rappel haut de page

  • Services publics. Les services publics ?c'est-?dire les services fournis par les pouvoirs publics sur une base non concurrentielle et non commerciale - n'entrent pas dans le cadre de l'AGCS et ne font par l'objet de n間ociations.
  • Lib閞alisation ne signifie pas privatisation. L'AGCS, et les n間ociations en cours, n'exigent la privatisation, l'exploitation commerciale ou la d閞間lementation d'aucun service.
  • Un processus volontaire. Aucun pays n'est oblig?de modifier son r間ime de services, dans aucun secteur, s'il n'est pas dispos??le faire volontairement au titre d'une concession.
  • Le droit de r間lementer: un principe de base de l'AGCS. L'objectif de l'AGCS est de lib閞aliser le commerce des services, et non de d閞間lementer les services, dont beaucoup sont pour de tr鑣 bonnes raisons strictement r間lement閟. Les lignes directrices pour les n間ociations, qui ont 閠?adopt閑s en mars 2001 par le Conseil du commerce des services, reconnaissent clairement 搇e droit des Membres de r間lementer la fourniture de services et d'introduire de nouvelles r間lementations? Elles indiquent en outre, sans 閝uivoque, que 搇e processus de lib閞alisation [des services] respectera d鹠ent les objectifs de politique nationale, le niveau de d関eloppement et la taille de l'閏onomie des diff閞ents Membres 厰.
  • Un processus d閙ocratique. La plupart des Membres de l'OMC doivent respecter l'obligation constitutionnelle de soumettre les r閟ultats des n間ociations ?leur Parlement pour ratification. La Constitution suisse pr関oit en outre la possibilit?d'un r閒閞endum populaire.
  • Services universels. Lorsqu'un pays d閏ide d'ouvrir un secteur de services ?la concurrence au titre de l'Accord, il conserve le droit d'imposer toute obligation de service universel qu'il estime n閏essaire pour des motifs sociaux, r間ionaux ou autres raisons d閏oulant de la politique des pouvoirs publics. Par exemple, un gouvernement peut demander ?une soci閠?de t閘閏ommunications priv閑 de proposer ses services ?tous les habitants du pays et pas seulement ?ceux de la capitale et des grandes villes.
  • Transparence. Toutes les propositions de n間ociation pr閟ent閑s jusqu'ici par les Membres de l'OMC ont 閠?imm閐iatement publi閑s sur le site Internet de l'OMC. Elles peuvent 阾re consult閑s ?l'adresse suivante: www.2n2y.com.

  
  
蓆udes de cas haut de page

  • Tunisie

D'apr鑣 le rapport de la Banque mondiale intitul?揚erspectives 閏onomiques mondiales et pays en d関eloppement?(2001)

La lib閞alisation des services pourrait procurer des avantages importants ?la Tunisie, avec des gains de bien-阾re 閝uivalant ? 7 pour cent du PIB, soit le double des gains attendus de l'accord pr閒閞entiel pass?avec l'UE. Les principaux avantages proviennent de la lib閞alisation de l'investissement 閠ranger dans les services financiers, les communications et les transports. La lib閞alisation tire la croissance 閏onomique gr鈉e ?une concurrence internationale accrue qui 閘imine les dysfonctionnements. Non seulement on pourrait obtenir des services meilleur march? mais le choix serait plus large en raison du plus grand nombre de soci閠閟 qui op閞eraient en Tunisie. Des services financiers, des communications et des transports plus efficaces sont 間alement susceptibles d'attirer en Tunisie des entreprises 閠rang鑢es op閞ant dans d'autres secteurs d'activit?

  • Inde

D'apr鑣 OMC, Examen de la politique commerciale de l'Inde (2002)

En 2000/01, le secteur indien des services repr閟entait 49 pour cent du PIB environ et employait quelque 19 pour cent de la population active totale (en 1999/2000), ce qui semble indiquer que la productivit?du travail y est peut-阾re consid閞ablement plus 閘ev閑 que la moyenne nationale. Les autres services d'infrastructure, tels que l'閘ectricit? le gaz et l'eau, comptaient pour 2,5 pour cent du PIB. Du fait qu'il contribue de mani鑢e importante et croissante ?l'閏onomie, il est essentiel pour la croissance 閏onomique que le secteur des services soit efficient. Conscient de ce fait, le Conseil 閏onomique consultatif du Premier Ministre (EAC), a d閏lar?dans un r閏ent rapport que la qualit?des services d'infrastructure, tels que l'閚ergie, les t閘閏ommunications et les transports, n'閠ait pas aussi satisfaisante qu'on pourrait s'y attendre. L'inefficacit?des services de transport, notamment des routes, des services maritimes et des ports, faisait obstacle aux 閏hanges et faisait augmenter les co鹴s g閚閞aux du commerce. Par ailleurs, le sous-secteur de l'閚ergie 閠ait devenu un goulet d'閠ranglement important de l'activit?閏onomique. Le Conseil a aussi relev?que l'infrastructure de l'Inde n閏essitait ?la fois une hausse massive de l'investissement et une am閘ioration de son efficience pour qu'elle puisse appuyer la croissance 閏onomique. La r閒orme de l'infrastructure et des autres services est engag閑 depuis le d閎ut des ann閑s 90 et elle a 閠?plus ou moins couronn閑 de succ鑣. Dans plusieurs sous-secteurs de services, dont les services bancaires et l'閘ectricit? la lib閞alisation a commenc?au d閎ut des ann閑s 90. Les autorit閟 ont indiqu?que m阭e si la d閏ision d'inviter le secteur priv??investir s'accompagnait souvent de r閒ormes r間lementaires, il 閠ait difficile d'attirer l'investissement priv?en raison de probl鑝es initiaux. Dans le cas de l'閘ectricit? par exemple, le secteur priv? avait 閠?encourag??y investir depuis le d閎ut des ann閑s 90, mais on a constat?que le fait qu'aucune modification n'avait en m阭e temps 閠?apport閑 ?la r間lementation, notamment pour restructurer les offices de l'閘ectricit?des 蓆ats et pour modifier la m閠hode de fixation des tarifs de l'閘ectricit? posait un probl鑝e majeur. C'est en partie pour cette raison que l'investissement priv?dans le secteur n'a pas 閠?aussi 閘ev?qu'on s'y attendait.

Comparativement, dans le secteur des t閘閏ommunications, les progr鑣 se sont acc閘閞閟 ces derni鑢es ann閑s et ils se sont accompagn閟 d'une plus grande ouverture ?l'investissement 閠ranger. En cons閝uence, l'infrastructure des t閘閏ommunications a 閠?grandement 閠endue et les tarifs ont 閠?consid閞ablement r閐uits. La r閒orme des autres grands services d'infrastructure, dont l'aviation civile, les services maritimes et les ports, a progress?plus lentement, quoique des mesures aient 閠?prises ces derni鑢es ann閑s pour autoriser l'investissement priv?dans les ports afin d'en d関elopper la capacit?et d'en am閘iorer l'efficience. Dans l'ensemble, l'efficacit?de ces sous-secteurs demeure toutefois faible et elle n'est pas ?la hauteur des besoins en infrastructure de l'Inde. Par ailleurs, alors que les consid閞ations d'ordre budg閠aire restreignent de plus en plus l'investissement public en infrastructure, le besoin de cr閑r un environnement concurrentiel et r間lementaire au sein duquel peut s'effectuer l'investissement priv?devient de plus en plus pressant.

D'apr鑣 le rapport annuel de l'OMC (2001)

En Inde, le taux de croissance des services commerciaux 閠ait de 14,5 pour cent dans les ann閑s 90, plus du double de celui du commerce mondial (6,4 pour cent).

  • Barbade

D'apr鑣 OMC, Examen de la politique commerciale de la Barbade (2002)

La Barbade a su employer le commerce ext閞ieur et l'investissement 閠ranger pour obtenir un niveau de vie nettement sup閞ieur ?celui de la plupart des pays en d関eloppement. Sa politique en mati鑢e de commerce et d'investissement a favoris?l'apparition de fournisseurs d'envergure internationale dans quelques domaines et en particulier dans ceux du tourisme et des services financiers. Exploitant la richesse des ressources naturelles du pays et les activit閟 sp閏ialis閑s encourag閑s par la politique gouvernementale, ces services sont devenus le pilier de l'閏onomie et la principale source de devises. Toutefois, en raison de cette sp閏ialisation et de l'exigu飔?de l'閏onomie, la base de production est 閠roite et la Barbade est donc vuln閞able en cas de chocs ext閞ieurs.

Le secteur des services a 閠?le principal moteur de la croissance. Sa part du PIB 閠ait d閖?sup閞ieure ?67 pour cent en 1981, et elle a atteint 71 pour cent en 2000. L'expansion 閏onomique la plus marqu閑 閠ait celle des services financiers et des services aux entreprises. Ces activit閟 ont enregistr?une valeur ajout閑 en termes courants de 770 millions de dollars de la Barbade (335 millions de dollars EU) en 2000, soit 18 pour cent du PIB.

 

Selon les statistiques 閠ablies par le FMI sur la balance des paiements, les exportations totales de services ont atteint 995 millions de dollars EU, soit plus de 3 500 dollars EU par habitant, ce qui repr閟entait 75 pour cent de la valeur ajout閑 du secteur des services enregistr閑 cette ann閑. L'essentiel de ces exportations 閠aient des voyages (712 millions de dollars EU), ce qui traduit l'importance des activit閟 dans le secteur du tourisme. Les exportations de services financiers ont atteint 64 millions de dollars EU en 2000; elles comprenaient notamment des services financiers fournis par des soci閠閟 搃nternationales? auxquelles la l間islation interdit de commercialiser leurs services ?la Barbade. Les importations de services se sont 閘ev閑s ?487 millions de dollars EU en 2000, alors qu'elles n'閠aient que de 409 millions de dollars en 1998; elles se composaient pour la plupart de services de transport (163 millions de dollars EU), de services d'assurance et de services de voyage.

  • Ouganda

D'apr鑣 OMC, Examen de la politique commerciale de l'Ouganda (2001)

Le secteur des services, qui contribue pour pr鑣 de 40 pour cent au PIB, semble prometteur. Sa croissance a 閠?plus lente que celle du secteur industriel, mais sup閞ieure ?celle de l'agriculture. En 1999/2000, il a progress?de 6,2 pour cent, contre 9,9 pour cent pour l'industrie et 1,6 pour cent pour l'agriculture. L'Ouganda est traditionnellement l'un des premiers fournisseurs de services sociaux de qualit?dans l'est de l'Afrique. Durant les ann閑s 60, il offrait des services d'enseignement tertiaire renomm閟 dans toute l'Afrique de l'Est. Des 閠ablissements tels que l'Universit?Makerere et l'h魀ital Mulago dispensaient une formation aux futurs professionnels de la r間ion.

 

L'Ouganda n'a pas d'objectif g閚閞al en ce qui concerne le secteur des services. Toutefois, la strat間ie de croissance concentr閑 est destin閑 ?promouvoir, sous l'間ide de l'Office de l'investissement ougandais, certains sous-secteurs, dont plusieurs font partie du secteur des services. L'objectif g閚閞al de cette strat間ie est de transformer l'Ouganda, qui est l'un des pays les plus pauvres du monde, en un prestataire de services de classe mondiale, avec un large impact sur le niveau de vie g閚閞al, ainsi qu'en un fournisseur de produits agro-industriels de grande qualit? La strat間ie est ax閑 sur huit sous-secteurs dans lesquels l'Ouganda pourrait avoir un avantage concurrentiel et dont la plupart sont des services: services d'閐ucation, services m閐icaux, technologies de l'information et de la communication, impression et 閐ition, services financiers et logistique de fret a閞ien et port int閞ieur. Elle met l'accent sur la rationalisation de l'administration publique, de mani鑢e ?encourager la croissance du secteur priv?en favorisant la confiance des investisseurs dans ces sous-secteurs, et sur d'autres actions.

Note:
(1)
Brown, D., A. Deardorff and R. Stern (2001), 揅GE Modeling and Analysis of Multilateral and Regional Negotiating Options? R. Stern (ed.), Issues and Options for U.S. - Japan Trade Policies, Presses de l'Universit?du Michigan, Ann Arbor. retour au texte

 

Graphiques:

Graphique 1: Exportations de services commerciaux des pays d関elopp閟, des pays en d関eloppement et des pays les moins avanc閟, 1999-2000
Graphique 2:
Structure des services commerciaux de certaines r間ions, 2001

Tableaux:

Tableau 1: Croissance de la valeur des 閏hanges mondiaux par r間ion, 1990-2001
Tableau 2: Principaux exportateurs et importateurs de services commerciaux en 2001
Tableau 3: Exportateurs dynamiques de services commerciaux, 1990-2000

Tableaux

Graphique 1 Exportations de services commerciaux des pays d関elopp閟, des pays en d関eloppement et des pays les moins avanc閟, 1999-2000 haut de page
(Variation annuelle moyenne en pourcentage)

  
  
Graphique 2 Structure des services commerciaux de certaines r間ions, 2001 haut de page
(Part en pourcentage)

Note: La rubrique 揂utres services commerciaux?comprend les secteurs de la communication, de la construction, de l'assurance, des finances, de l'informatique, de l'information et autres services fournis aux entreprises ainsi que les redevances et les droits de licence.

  
  
  
Croissance de la valeur des 閏hanges mondiaux par r間ion, 1990-2001 haut de page
(en milliards de dollars et en pourcentage)

 

 

Exportations

Importations

 

Valeur

Variation annuelle en pourcentage

Valeur

Variation annuelle en pourcentage

 

2001

1990-2000

1999

2000

2001

2001

1990-2000

1999

2000

2001

Monde

1 440

6

3

6

-1

1 430

6

2

6

-1

Am閞ique du Nord

298

7

5

9

-4

227

7

3

14

-6

蓆ats-Unis

263

7

5

9

-3

188

7

3

16

-7

Am閞ique latine

58

7

0

11

-4

72

7

-5

12

2

Mexique

13

7

-3

17

-7

17

5

11

19

1

Autres pays d'Am閞ique latine

45

7

1

9

-3

55

8

-9

10

2

Europe occidentale

670

5

2

1

0

631

5

3

1

0

UE (15)

604

5

3

1

1

589

5

3

1

0

蒫onomies en transition

55

?/span>

-14

10

10

57

?/span>

-8

18

11

Afrique

30

5

10

0

?/span>

38

4

-2

7

?/span>

Moyen-Orient

31

8

9

15

?/span>

56

4

2

10

?/span>

Asie

298

9

4

12

-2

351

7

5

8

-3

Japon

63

5

-2

13

-7

107

3

3

1

-8

Pays en d関eloppement d'Asie

215

11

6

12

1

233

11

6

13

0

Chine

31

18

10

15

3

36

24

17

16

2

Hong Kong, Chine

43

9

3

13

2

23

8

-4

2

0

Cor閑, R閜. de

28

12

4

12

-2

33

13

11

23

-1

Singapour

26

8

26

13

-2

20

10

8

13

-6

Taipei chinois

21

11

3

18

3

24

6

0

10

-8

Inde

20

14

27

26

14

24

13

20

15

21

Pour m閙oire:

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Pays en d関eloppement

334

9

3

11

-2

390

8

2

12

0

Source: OMC, Rapport annuel 2002

  
  
  
Principaux exportateurs et importateurs de services commerciaux en 2001 haut de page
(en milliards de dollars et en pourcentage)

 

Exportateurs

Valeur

Part

Variation annuelle
en pourcentage

Importateurs

Valeur

Part

Variation annuelle
en pourcentage

 

 

 

1990-2000

2000

2001

 

 

 

1990-2000

2000

2001

蓆ats-Unis

262,9

18,3

7

9

-3

蓆ats-Unis

187,6

13,1

7

16

-7

Royaume-Uni

108,3

7,5

8

3

-6

Allemagne

128,5

9,0

5

-3

-3

Allemagne

79,8

5,5

5

-3

-1

Japon

106,7

7,5

3

1

-8

France

79,0

5,5

2

-1

-3

Royaume-Uni

88,5

6,2

8

2

-5

Japon

63,3

4,4

5

13

-7

France

60,0

4,2

2

-3

-2

Italie

59,5

4,1

1

-4

7

Italie

58,5

4,1

2

-2

6

Espagne

56,7

3,9

7

0

7

Pays-Bas

52,3

3,7

6

3

1

Pays-Bas

50,9

3,5

6

-2

-1

Canada

39,6

2,8

4

7

-4

Hong Kong, Chine

43,0

3,0

9

13

2

Belgique-Luxembourg

38,9

2,7

5

5

2

Belgique-Luxembourg

42,6

3,0

6

5

0

Chine

36,4

2,5

24

16

2

Canada

34,7

2,4

7

7

-5

Irlande

33,6

2,4

19

8

17

Chine

31,0

2,2

18

15

3

Cor閑, R閜. de

32,6

2,3

13

23

-1

Autriche

30,0

2,1

3

-3

0

Espagne

32,2

2,3

7

2

5

Cor閑, R閜. de

28,4

2,0

12

12

-2

Autriche

29,0

2,0

8

-1

0

Singapour

26,4

1,8

8

13

-2

Inde

23,7

1,7

13

15

21

Suisse

25,9

1,8

4

0

-1

Taipei chinois

23,6

1,7

6

10

-8

Danemark

22,8

1,6

5

21

12

Hong Kong, Chine

22,9

1,6

8

2

0

Su鑔e

20,8

1,4

4

2

4

Su鑔e

22,7

1,6

3

4

-3

Taipei chinois

20,8

1,4

11

18

3

F閐閞ation de Russie

20,5

1,4

4

30

18

Inde

20,1

1,4

14

26

14

Singapour

20,0

1,4

10

13

-6

Gr鑓e

19,7

1,4

11

17

3

Danemark

19,0

1,3

6

18

6

Irlande

19,2

1,3

18

8

15

蒻irats arabes unis

18,3

1,3

10

?/span>

?/span>

Australie

15,9

1,1

6

5

-11

Mexique

17,0

1,2

5

19

1

Norv鑗e

15,6

1,1

2

8

4

Australie

16,4

1,1

3

-2

-7

Turquie

14,8

1,0

9

19

-23

Malaisie

16,3

1,1

12

13

-2

Malaisie

13,6

0,9

14

15

0

Tha飈ande

15,9

1,1

10

14

4

Tha飈ande

12,8

0,9

8

-5

-7

Br閟il

15,8

1,1

9

19

0

Mexique

12,6

0,9

7

17

-7

Suisse

15,5

1,1

3

-1

1

Pologne

12,0

0,8

12

25

16

Norv鑗e

15,1

1,1

2

-1

4

Isra雔

11,3

0,8

12

32

-21

Indon閟ie

14,4

1,0

10

30

?/span>

Total pays ci-dessus

1 254,0

87,2

-

-

-

Total pays ci-dessus

1 221,6

85,3

-

-

-

Monde

1 440,0

###

6

6

-1

Monde

1 430,0

100,0

6

6

-1

Note: Les chiffres concernant un certain nombre de pays et de territoires sont des estimations du Secr閠ariat. Les variations annuelles en pourcentage et les classements sont affect閟 par des ruptures de continuit?dans les s閞ies dans le cas d'un grand nombre d'閏onomies.

Source: Rapport annuel de l'OMC, 2002

  
  
  
Exportateurs dynamiques de services commerciaux, 1990-2000: haut de page
  

A. Plus de 15 pour cent de croissance annuelle 1990-2000

C. Croissance des exportations inf閞ieure ?10 pour cent mais sup閞ieure ?la moyenne mondiale

Albanie

30

Kazakhstan

10

R閜ublique d閙ocratique populaire lao

26

Aruba

10

Estonie

24

Bulgarie

10

Nicaragua

23

N閜al

9

Ghana

20

Turquie

9

Belarus

20

Madagascar

9

Lituanie

19

Br閟il

9

Chine

18

Guatemala

9

Irlande

18

Hong Kong, Chine

9

Haiti

17

Hongrie

9

Tanzanie, R閜ublique-Unie de

17

Bahre飊

9

Lettonie

16

Angola

9

Oman

15

Grenade

9

Alg閞ie

8

B. Croissance des exportations entre 10 et 15 pour cent

Maurice

8

TTha飈ande

8

Iran, R閜. islamique d'

15

Gambia

8

Inde

14

El Salvador

8

Cambodge

14

Sri Lanka

8

Malaisie

14

Chili

8

Namibie

13

Royaume-Uni

8

Maldives

13

Islande

8

Honduras

13

Singapour

8

Cap-Vert

13

Vanuatu

8

Pologne

12

Mauritanie

8

Cor閑, R閜. de

12

Sainte-Lucie

7

Mozambique

12

P閞ou

7

Isra雔

12

蓆ats-Unis

7

St.-Vincent-et-les Grenadines

12

Jama飍ue

7

蝜es Salomon

12

Indon閟ie

7

Gr鑓e

11

蒰ypte

7

Taipei chinois

11

R閜ublique arabe syrienne

7

R閜ublique dominicaine

11

Guin閑 閝uatoriale

7

Uruguay

11

Azerbaijan

7

Roumanie

11

Panama

7

Zimbabwe

11

Canada

7

Costa Rica

11

Congo

7

Suriname

11

Y閙en

7

Kiribati

10

Guyana

7

Dominique

10

Trinit?et-Tobago

7

Argentine

7

Botswana

7

Espagne

7

Sierra Leone

7

Seychelles

7

Mexique

7

Note: Les chiffres indiquent qu'il s'agit en partie d'estimations.