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LE TEXTE CI-CONTRE EST UN R蒘UM?NON OFFICIEL DE CE QUI S'EST PASS?? LA R蒛NION, 蒚ABLI PAR LA DIVISION DE L'INFORMATION ET DES RELATIONS AVEC LES M蒁IAS DU SECR蒚ARIAT DE L'OMC POUR FACILITER LA COMPR蒆ENSION DU PUBLIC. SEUL LE COMPTE RENDU DE LA R蒛NION FAIT FOI.




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Communiqu閟 de presse
AArchives
Allocutions: Mike Moore


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Les ADPIC et la sant?publique   

> La D閏laration de Doha sur les ADPIC et la sant?publique
> Les termes techniques et les dispositions l間ales expliqu閟:
fiche r閏apitulative

L'Union europ閑nne, les 蓆ats-Unis et un groupe important de pays en d関eloppement ont engag?au Conseil des ADPIC les d閎ats post閞ieurs ?Doha sur les ADPIC et la sant?publique, avec des propositions visant la question des licences obligatoires lorsque les pays n'ont pas de capacit?de production int閞ieure.

Le d閎at, le 5 mars (premi鑢e journ閑 d'une r閡nion de trois jours du Conseil des ADPIC), entre dans le cadre des travaux que les Ministres ont confi閟 au Conseil des ADPIC dans la D閏laration de Doha sur les ADPIC et la sant?publique. La mission est double.

Premi鑢ement, le Conseil des ADPIC doit trouver une solution aux probl鑝es que les pays peuvent rencontrer dans l'utilisation des licences obligatoires si leur capacit?de fabrication de produits pharmaceutiques est insuffisante ou nulle. Cette question est li閑 ?l'article 31 f), qui dit que la production dans le cadre de licences obligatoires doit 阾re principalement destin閑 au march?int閞ieur.

Le Conseil des ADPIC doit faire rapport au Conseil g閚閞al sur cette question au plus tard ?la fin de 2002. Mardi (5 mars), le Pr閟ident, l'Ambassadeur Boniface Chidyausiku du Zimbabwe, a instamment pri?les gouvernements Membres de pr閟enter leurs propositions d'ici ?la prochaine r閡nion, c'est-?dire en juin. Les intervenants ont insist?sur leur d閠ermination ?trouver une solution pour la fin de l'ann閑.

Deuxi鑝ement, la D閏laration de Doha repousse 間alement au 1er janvier 2016 la date limite fix閑 pour que les pays les moins avanc閟 appliquent les dispositions relatives aux brevets pharmaceutiques. Le Conseil des ADPIC est en train d'閘aborer un texte destin??mettre en 渦vre formellement cette d閏ision, qui fera l'objet d'un d閎at en juin.

? la session du 5 mars, des propositions ou suggestions initiales pour traiter la question de la capacit?de production int閞ieure ont 閠?pr閟ent閑s par les Membres ci-apr鑣:

  • l'Union europ閑nne ?un document distribu?le 4 mars
    > pour t閘閏harger ce document, voir ci-dessous
  • un groupe important de pays en d関eloppement (Br閟il, Cuba, 蓂uateur, Groupe africain, Honduras, Inde, Indon閟ie, Jama飍ue, Malaisie, R閜ublique dominicaine, Sri Lanka et Tha飈ande): un expos?oral qui sera suivi par un document ult閞ieurement cette ann閑. (Il y a 41 Membres africains de l'OMC.) Plusieurs autres intervenants de pays en d関eloppement ont fait part de leur soutien au cours du d閎at.
  • les 蓆ats-Unis ?un document distribu??la r閡nion, qui fera l'objet d'une distribution officielle peu de temps apr鑣.
     > pour t閘閏harger ce document, voir ci-dessous

Beaucoup d'autres pays ont 間alement pris la parole.

Plusieurs solutions 関entuelles ont 閠?propos閑s ?cette session initiale, et d'autres id閑s possibles le seront aux r閡nions futures:

  • Modifier ou supprimer l'article 31 f) de l'Accord sur les ADPIC. Cela all間erait ou supprimerait la prescription selon laquelle la production dans le cadre de licences obligatoires doit 阾re principalement destin閑 au march?int閞ieur. Les 蓆ats-Unis ont indiqu?qu'une modification dans des conditions strictes 閠ait une solution possible. Dans l'ensemble, les pays en d関eloppement 閠aient favorables ?la suppression de la disposition, mais plusieurs intervenants ont fait observer que la modification de l'Accord serait un processus long.
  • Interpr閠er l'article 30 (exceptions aux droits de brevet) de fa鏾n ?permettre l'exportation des produits fabriqu閟 dans le cadre de licences obligatoires ?destination de pays confront閟 ?des probl鑝es de sant?publique mais n'ayant pas de capacit? de production int閞ieure. Les 蓆ats-Unis, appuy閟 par plusieurs autres Membres, y compris le groupe de pays en d関eloppement, ont indiqu?qu'il s'agissait d'une autre possibilit?
  • Un moratoire sur les affaires faisant l'objet d'un diff閞end lorsque des produits fabriqu閟 dans le cadre de licences obligatoires concernant un pays sont export閟 vers un pays qui en a besoin mais qui n'a pas de production int閞ieure, dans le respect de conditions claires. Il s'agissait de la solution qui avait les faveurs des 蓆ats-Unis, et qui 閠ait qualifi閑 de solution dans le cadre de l'article 31.
  • Des incitations en faveur du transfert de technologie de sorte que les pays puissent d関elopper une capacit?de production int閞ieure. Cette solution 閠ait mise en avant par le groupe des pays en d関eloppement et appuy閑 par le groupe des pays les moins avanc閟.

Au cours des d閎ats, plusieurs points ont 閠?soulev閟, notamment:

  • La question de savoir si la ou les solutions devraient s'appliquer ? tous les pays ou seulement ?des cat間ories express閙ent d閒inies. Les pays en d関eloppement pr閒閞aient des solutions s'appliquant ?tous. Les pays d関elopp閟 pr閒閞aient que les conditions d'admissibilit?soient pr閏is閑s, par exemple, les petits pays d関elopp閟 ne devraient pas pouvoir en b閚閒icier.
  • La question de savoir s'il convenait d'inclure des conditions et des crit鑢es. Les pays d関elopp閟 y 閠aient favorables. Les pays en d関eloppement craignaient que si les conditions 閠aient trop strictes et d閠aill閑s, la ou les solutions pourraient 阾re difficiles ?mettre en 渦vre.
  • Les conditions sp閏ifiques propos閑s incluaient la fa鏾n d'emp阠her que les m閐icaments fabriqu閟 dans le cadre de licences obligatoires soient r閑xport閟 vers d'autres march閟, et d'関iter que les solutions propos閑s soient utilis閑s pour r閜ondre ?des fins de politique industrielle plut魌 que de politique de sant?publique.
  • Les 蓆ats-Unis ont manifest?leur int閞阾 pour la question du transfert de technologie mise en avant par les pays en d関eloppement. Ils ont ajout?que certaines solutions propos閑s pourraient y contribuer, tandis que d'autres pourraient d閏ourager le transfert de technologie.
  • La Suisse a pos?trois questions: Que faut-il entendre par capacit? de fabrication insuffisante ou absente? Quelles sont les situations qui justifient une action? Comment peut-on concevoir des solutions qui aideront v閞itablement les pays qui n'ont pas de capacit?de production et non pas ceux qui en ont une?
  • La Chine a insist?sur la n閏essit?de l'assistance technique et du transfert de technologie.

Le d閎at se poursuivra en juin.

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Indications g閛graphiques (application d'un niveau de protection plus 閘ev??d'autres produits)   

> voir les nouvelles ADPIC pr閏閐entes
> par exemple
Conseil des ADPIC, 1er et 2 d閏embre 1998 (uniquement en anglais)

Le Conseil des ADPIC a entrepris de s'acquitter de la mission post閞ieure ?Doha qui lui est assign閑, ?savoir pr閜arer son rapport au Comit?des n間ociations commerciales sur ce sujet, la date limite 閠ant la fin de cette ann閑 (2002).

En cause ?est la question de savoir si le niveau de protection plus 閘ev?actuellement accord?aux indications g閛graphiques des vins et spiritueux (article 23) devrait 阾re appliqu??d'autres produits. Aux yeux de certains pays, la migration constitue un point essentiel dans ce d閎at, en particulier la migration vers le 搉ouveau monde?(les Am閞iques, l'Australie, la Nouvelle-Z閘ande, etc.): les immigrants ont emport?avec eux la production de produits identifi閟 par des indications g閛graphiques et ils devraient 阾re autorit閟 ?continuer d'utiliser ces noms. D'autres pays contestent que cet argument soit pertinent. Ils disent qu'en restreignant le niveau de protection plus 閘ev?aux vins et aux spiritueux, l'Accord sur les ADPIC 閠ablit une discrimination, cr閍nt un d閟閝uilibre entre les Membres de l'OMC.

? la r閡nion (5 et 6 mars), les Membres, d'une mani鑢e g閚閞ale, se sont partag閟 en deux camps, quelques-uns d'entre eux ne s'engageant pas particuli鑢ement dans un sens ou dans l'autre:

  • En faveur de l'application: Certains de ces pays ont appel?le Conseil des ADPIC ?convenir de 搈odalit閟 de n間ociations?(comment n間ocier) qui seraient soumises au Comit?des n間ociations commerciales.
  • Contre l'application: Ces pays ont dit que le Conseil des ADPIC devrait se contenter de faire rapport sur ses discussions au Comit?des n間ociations commerciales, sans proposer de modalit閟.

Les deux groupes comprennent un panachage de pays d関elopp閟 et de pays en d関eloppement. Les Membres en faveur de l'application 閠aient les suivants: Sri Lanka, Slov閚ie, Suisse, Turquie, Inde, Pakistan, Kenya, Hongrie, UE, R閜ublique slovaque, Cuba, Maroc, R閜ublique tch鑡ue, 蒰ypte, Bulgarie, Tha飈ande, Jama飍ue.

Ceux qui s'y opposaient 閠aient l'Australie, le Canada, le Paraguay, la Colombie, le Guatemala, la Nouvelle-Z閘ande, les 蓆ats-Unis et l'Uruguay.

Les moins engag閟 comprenaient la R閜ublique de Cor閑, l'蓂uateur, le Japon et Singapour.

Au cours des d閎ats, les points ci-apr鑣 ont notamment 閠?soulev閟:

  • Question de savoir si l'application ?d'autres produits faciliterait ou entraverait l'acc鑣 aux march閟 et le d関eloppement 閏onomique
  • Question de savoir si l'application ?d'autres produits serait compliqu閑 et co鹴euse
  • Question de savoir si les noms actuellement utilis閟 comme termes g閚閞iques devraient d閟ormais 阾re consid閞閟 comme des indications g閛graphiques ou si les exceptions pr関ues ? l'article 24 (qui incluent les termes g閚閞iques) s'appliqueraient
  • R鬺e jou?dans le d閎at par les politiques publiques, sociales et culturelles
  • Comment emp阠her que d'autres indications g閛graphiques ne deviennent des termes g閚閞iques

Les pays en faveur de l'application ?d'autres produits ont dit que cela serait b閚閒ique pour le commerce et le d関eloppement car les indications g閛graphiques peuvent 阾re un moyen pour les pays ?nbsp;notamment les pays en d関eloppement ?de commercialiser leurs produits et d'obtenir des prix plus 閘ev閟 en raison de la qualit?qui va de pair avec les indications g閛graphiques. Ils ont ni?que cela rel鑦e n閏essairement les co鹴s et ont soulign?que les termes actuellement utilis閟 d'une fa鏾n g閚閞ique ne pourraient pas 阾re vis閟 par la protection.

Les pays oppos閟 ?l'application ?d'autres produits ont dit que les indications g閛graphiques pouvaient 阾re si complexes que leur protection pouvait 阾re utilis閑 par les pays producteurs pour bloquer les importations et que les co鹴s administratifs de la protection des indications 閠aient trop 閘ev閟. Certains, comme l'Australie, ont fait valoir, au niveau culturel, que beaucoup de noms ont voyag?avec les migrants (comme les migrants europ閑ns ? destination de l'Australie) et qu'ils veulent naturellement continuer de fabriquer les m阭es produits comme ils le faisaient auparavant et utiliser les m阭es termes pour les identifier. L'UE a r閜liqu? qu'elle aussi avait des immigrants, en provenance d'Afrique et d'Asie, mais que cela ne devrait pas justifier que les Europ閑ns utilisent les indications g閛graphiques des pays d'origine des migrants.

Les 閏hanges se sont en partie centr閟 sur les n間ociations et accords bilat閞aux entre l'Australie et l'UE sur une protection des indications g閛graphiques pour les vins et spiritueux allant au-del? des dispositions de l'Accord sur les ADPIC. L'Australie a cit?ce point en exemple pour montrer combien la question pouvait 阾re complexe et d閟tabilisante notamment ?nbsp;a indiqu?l'Australie ? le refus de l'UE d'accepter que les noms de pays constituent des indications g閛graphiques.

La Bulgarie et la Suisse, toutes deux fermement en faveur de l'application ?d'autres produits, ont dit que les probl鑝es bilat閞aux que connaissait l'Australie avec l'UE n'閠aient pas ? prendre en compte dans les discussions multilat閞ales au Conseil des ADPIC sur la question de l'application aux autres produits, d'autant que ces probl鑝es bilat閞aux portent sur les vins et les spiritueux. La d閒inition des indications g閛graphiques donn閑 dans l'Accord sur les ADPIC autorise clairement la protection des noms de pays, a fait valoir la Bulgarie. La Bulgarie a aussi averti que si l'on ne parvenait pas ?un consensus au Conseil des ADPIC, il y aurait des cons閝uences pour d'autres th鑝es du Programme de Doha pour le d関eloppement, en particulier l'agriculture.

Le d閎at se poursuivra en juin.

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R閑xamen des dispositions de l'Accord sur les ADPIC (Article 27:3 b) sur la protection des inventions concernant les v間閠aux et les animaux, l'ensemble de l'Accord sur les ADPIC au titre de l'article 71:1, compte tenu de la biodiversit? des savoirs traditionnels et du d関eloppement)  

Les principales d閏isions au titre de ces points de l'ordre du jour concernaient l'organisation des travaux. Sur chacune de ces questions, le Secr閠ariat doit pr閜arer des r閟um閟 des points soulev閟 au cours des discussions ant閞ieures, et les organisations intergouvernementales seront invit閑s ?faire rapport sur leurs travaux. Les gouvernements qui n'ont pas r閜ondu ?un questionnaire sur la fa鏾n dont ils mettent en 渦vre l'article 27:3 b) sont invit閟 ?le faire. Plusieurs pays (surtout des pays d関elopp閟) ont dit que les travaux sur les savoirs traditionnels au Conseil des ADPIC devraient attendre le r閟ultat des travaux entrepris ?l'OMPI.

L'Inde a mentionn?les questions de mise en 渦vre en suspens dans ce domaine, y compris les propositions selon lesquelles:

  • les brevets incompatibles avec l'article 15 de la Convention sur la diversit?biologique ne devraient pas 阾re octroy閟
  • l'article 27:3 b) devrait 阾re mis en 渦vre cinq ans apr鑣 la fin du r閑xamen actuel
  • le transfert de technologie devrait 阾re accord??des conditions 閝uitables et mutuellement avantageuses
  • l'article 27:3 b) devrait 阾re modifi?揷ompte tenu de la Convention sur la diversit?biologique?et le r閑xamen devrait pr閏iser que ne sont pas brevetables: les organismes vivants dans leur ensemble (y compris les v間閠aux et les animaux en totalit?ou leurs parties, ainsi que les s閝uences des g阯es), les proc閐閟 biologiques et autres proc閐閟 naturels pour la production de v間閠aux, d'animaux et de leurs parties.

Le reste du d閎at sur le fond a consist?en grande partie ?r閜閠er les positions que les d閘間ations avaient expos閑s aux r閡nions ant閞ieures. Il a port?sur le partage des avantages sur la base d'un accord pr閍lable en connaissance de cause (une disposition de la Convention sur la diversit?biologique et une r閜lique ?ce que certains appellent la 揵iopiraterie? et sur le point de savoir s'il est n閏essaire de modifier l'Accord sur les ADPIC pour tenir compte de cette question. Les 蓆ats-Unis ont distribu?un exemple de contrats que leur Institut national de la recherche sur le cancer a conclus avec divers gouvernements et organisations, comme mod鑜e de la fa鏾n dont il est possible de partager les avantages par voie contractuelle. Certains pays comme le P閞ou ont fait part de leur int閞阾 mais ont soulign?que les contrats bilat閞aux des 蓆ats-Unis 閠aient facultatifs.

S'agissant du r閑xamen de l'Accord sur les ADPIC (article 71:1), les Membres sont convenus de se donner comme objectif de pr閟enter des propositions pour la r閡nion de juin.

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Incitations en faveur du transfert de technologie vers les pays les moins avanc閟 (article 66.2)

Aux termes de la D閏ision de Doha relative ?la mise en 渦vre, le Conseil des ADPIC doit 閠ablir un m閏anisme pour garantir la surveillance et la mise en 渦vre int間rale des obligations d閏oulant de cet article: il prescrit aux pays d関elopp閟 de pr関oir des incitations pour leurs entreprises et organisations afin de transf閞er la technologie vers les pays les moins avanc閟.

Le Pr閟ident a propos?que les Membres soumettent des id閑s concernant ce m閏anisme pour la r閡nion de juin de fa鏾n que les pays d関elopp閟 puissent faire rapport sur leurs activit閟 ainsi qu'il est prescrit, pour la fin de l'ann閑. Plusieurs pays ont dit qu'ils s'efforceraient de le faire, sans toutefois 阾re s鹯s d'y parvenir pour juin.

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Autres points de l'ordre du jour

蒰alement ?l'ordre du jour 閠aient la question des 損laintes en situation de non-violation et des plaintes motiv閑s par une autre situation? celle du commerce 閘ectronique (dans les deux cas avec un mandat 閙anant de Doha), et celle de la coop閞ation technique. S'agissant des deux premi鑢es, il a 閠?convenu ?la r閡nion que le Secr閠ariat recueillerait ou mettrait ?jour des renseignements pour la prochaine r閡nion. Au sujet de la coop閞ation technique, les 蓆ats-Unis, le Br閟il et le P閞ou ont insist?sur la n閏essit? d'inclure des questions de politique g閚閞ale telles que la sant? publique et l'utilisation des flexibilit閟 de l'Accord sur les ADPIC dans le cadre de s閙inaires, d'ateliers, etc., en plus des renseignements concernant la mise en 渦vre de l'Accord.

Le Pr閟ident du Conseil des ADPIC, l'Ambassadeur Boniface Chidyausiku du Zimbabwe, a cl魌ur?la r閡nion en laissant la pr閟idence ?son successeur pour cette ann閑, l'Ambassadeur Eduardo P閞ez Motta du Mexique.

La 搒ession extraordinaire?du Conseil des ADPIC consacr閑 au syst鑝e d'enregistrement multilat閞al pour les indications g閛graphiques concernant les vins et les spiritueux s'est tenue le vendredi 8 mars.      > pour en savoir plus ...

Les r閡nions provisoirement fix閑s pour le reste de l'ann閑 sont les suivantes:

  • 25-27 juin (suivie par une session extraordinaire le 28 juin)
  • 17-19 septembre (suivie par une session extraordinaire le 20 septembre)
  • 25-27 novembre (suivie par une session extraordinaire le 28 novembre)

 

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  • ADPIC et sant? document des 蓆ats-Unis (?para顃re prochainement)

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