OMC | Comprendre l'OMC - section name

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COMPRENDRE L'OMC: 蒐蒑ENTS ESSENTIELS

Les arguments en faveur d抲n commerce ouvert

Du point de vue 閏onomique, la justification d抲n syst鑝e commercial ouvert fond?sur des r鑗les convenues au niveau multilat閞al est fort simple et rel鑦e essentiellement du bon sens commercial. Elle est cependant 間alement 閠ay閑 par les faits: l掗volution du commerce international et de la croissance 閏onomique depuis la seconde guerre mondiale. Les droits de douane sur les produits industriels ont fortement fl閏hi et sont en moyenne inf閞ieurs ?5 pour cent dans les pays industrialis閟. Au cours des 25 premi鑢es ann閑s qui ont suivi la guerre, la croissance de l掗conomie mondiale 閠ait de 5 pour cent par an en moyenne, ce taux 閘ev?閠ant en partie imputable ?la r閐uction des obstacles au commerce. La croissance du commerce mondial a 閠?encore plus rapide, avec un taux moyen d抏nviron 8 pour cent pendant cette p閞iode.

 

Davantage de renseignements liminaires
> L'OMC en quelques mots

Les donn閑s montrent qu抜l y a un lien statistique indiscutable entre lib閞alisation du commerce et croissance 閏onomique. D抋pr鑣 la th閛rie 閏onomique, ce lien s抏xplique par de bonnes raisons. Tous les pays, y compris les plus pauvres, ont des ressources ?humaines, industrielles, naturelles, financi鑢es ?qu抜ls peuvent exploiter pour produire des biens et des services destin閟 ?阾re vendus sur le march?int閞ieur ou ?l掗tranger. La science 閏onomique nous enseigne que nous pouvons tirer parti du commerce de ces biens et services. Pour dire les choses simplement, le principe de l挀avantage comparatif?signifie que les pays prosp鑢ent d抋bord en tirant profit de leurs ressources pour concentrer leurs efforts sur ce qu抜ls peuvent produire dans les meilleures conditions, et ensuite en 閏hangeant ces produits contre ceux que d抋utres pays produisent dans les meilleures conditions.

Autrement dit, des politiques commerciales lib閞ales ?celles qui garantissent la circulation sans restriction des biens et des services ?accroissent la concurrence, encouragent l'innovation et engendrent le succ鑣. Elles amplifient le b閚閒ice que l抩n peut retirer de la production la meilleure, la mieux con鐄e et effectu閑 au meilleur prix.

Le succ鑣 dans le commerce, cependant, n抏st pas un ph閚om鑞e statique. Telle entreprise parfaitement comp閠itive pour un produit peut le devenir moins qu抲ne autre lorsque le march?関olue ou lorsque des techniques nouvelles permettent de fabriquer un produit moins cher et meilleur. Les producteurs sont encourag閟 ?s'adapter progressivement et de fa鏾n relativement indolore. Ils peuvent fabriquer des produits nouveaux, trouver un nouveau 揷r閚eau?dans leur branche d抋ctivit?existante ou se lancer dans des domaines nouveaux.

L抏xp閞ience montre que la comp閠itivit? peut aussi passer d抲n pays ?l抋utre. Un pays qui a peut-阾re 閠?favoris?par des co鹴s de main-d挏uvre moins 閘ev閟 ou par d抋bondantes ressources naturelles peut perdre sa comp閠itivit?pour certains biens ou services ?mesure que son 閏onomie se d関eloppe. Toutefois, gr鈉e ?l抏ffet de stimulation exerc?par l抩uverture de l掗conomie, il peut redevenir comp閠itif pour d抋utres biens ou services. Il s抋git l? en r鑗le g閚閞ale, d抲n processus graduel.

N閍nmoins, la tentation de refuser le d閒i que repr閟entent des importations comp閠itives est toujours pr閟ente. Et les gouvernements des pays riches sont davantage susceptibles de c閐er ?l'appel de la sir鑞e du protectionnisme, dans le but d'en retirer un avantage politique ?court terme, en accordant des subventions, en imposant des formalit閟 administratives complexes et en se retranchant derri鑢e des objectifs g閚閞aux l間itimes, tels que la pr閟ervation de l'environnement ou la protection des consommateurs, comme pr閠exte pour prot間er les producteurs.

La protection conduit ?terme ?des producteurs hypertrophi閟 et inefficaces offrant aux consommateurs des produits d閜ass閟 et peu attrayants. En fin de compte, malgr?la protection et les subventions, les usines doivent fermer leurs portes et les emplois disparaissent. Si d抋utres gouvernements de par le monde appliquent eux aussi les m阭es politiques, les march閟 se contractent et l抋ctivit?閏onomique mondiale ralentit. L抲n des objectifs que les gouvernements visent ?travers les n間ociations de l'OMC est d抏mp阠her une telle d閞ive destructive vers le protectionnisme, et qui va ?l抏ncontre du but recherch?

> pour en savoir plus sur recherche et analyse

 

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VRAIE SANS 蔜RE TRIVIALE?

Stanislaw Ulam, un math閙aticien, a un jour mis au d閒i Paul Samuelson, laur閍t du prix Nobel, de lui 閚oncer une proposition, dans n抜mporte quelle discipline des sciences sociales, qui soit vraie sans 阾re triviale.

La r閜onse de Samuelson: l抋vantage comparatif.

揅ette notion est logiquement vraie car elle n抋 pas besoin d掙tre d閙ontr閑 ?un math閙aticien et elle n抏st pas triviale puisque des milliers d抙ommes importants et intelligents n抩nt jamais pu la comprendre d抏ux-m阭es ou y croire une fois qu抏lle leur eut 閠? expliqu閑.?/p>

 

Avantages comparatifs haut de page

C'est sans doute la th閛rie la plus brillante de la science 閏onomique.

Supposons que le pays A soit plus dou?que le pays B pour construire des automobiles et que le pays B soit meilleur boulanger que le pays A. De toute 関idence (“c抏st trivial”, diraient les th閛riciens), il serait dans l抜nt閞阾 de l抲n et de l抋utre que A se sp閏ialise dans la construction automobile et B dans la boulangerie et qu抜ls 閏hangent leurs produits. C抏st l抏xemple de l?b>avantage absolu.

Mais que se passe-t-il si un pays n抏st dou?pour rien? Le commerce va-t-il 閘iminer tous ses producteurs du march? Non, d抋pr鑣 Ricardo. La raison en est le principe de l?b>avantage comparatif.

D抋pr鑣 ce principe, les pays A et B ont toujours int閞阾 ?faire du commerce l抲n avec l抋utre, m阭e si A est le meilleur pour tout. S抜l est tr鑣 nettement sup閞ieur comme constructeur automobile et juste un peu meilleur comme boulanger, A aurait toujours int閞阾 ?investir ses ressources l?o?il excelle — construire des automobiles — et ?exporter ses produits vers B, lequel devrait continuer ?s抜nvestir dans ce qu抜l sait le mieux faire — la boulangerie — et vendre son pain ?A, m阭e s抜l n抏st pas aussi efficace que celui-ci. Le commerce resterait ainsi profitable pour l抲n et pour l抋utre. Un pays n抋 pas besoin d掙tre le meilleur dans un domaine quelconque pour profiter du commerce. C抏st l抋vantage comparatif.

cette th閛rie remonte ?l'閏onomiste classique David Ricardo. Il s抋git de l抲ne des th閛ries les plus largement accept閑s parmi les 閏onomistes. C抏st aussi celle qui donne lieu au plus grand malentendu chez les non-閏onomistes, qui la confondent avec l抋vantage absolu.

On entend souvent dire, par exemple, que certains pays ne poss鑔ent d抋vantage comparatif pour rien. Cela est pratiquement impossible.

R閒l閏hissez-y ...

Reprise du commerce et de la production au niveau mondial

Le commerce et le PIB ont tous deux chut? ?la fin des ann閑s 20 avant d抋morcer une reprise en 1932. Apr鑣 la seconde guerre mondiale, l抲n et l抋utre ont connu un redressement exponentiel, la progression du commerce 閠ant, le plus souvent, plus rapide que celle du PIB.
(1950 = 100. Commerce et PIB: 閏helle logarithmique)

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