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Questions couvertes par les comit閟 et accords de l'OMC
EXAMENS DES POLITIQUES COMMERCIALES: DEUXIEME COMMUNIQUE DE PRESSE, ET CONCLUSIONS DU PRESIDENT

COMMUNIQUE DE PRESSE
PRESSE/TPRB/169
28 juin 2001

Gabon: June 2001

Les 26 et 28 juin 2001, l'Organe d'examen des politiques commerciales (OEPC) de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a proc閐?au premier examen de la politique commerciale du Gabon. On trouvera ci-joint le texte des remarques finales du Pr閟ident, r閟umant les points essentiels qui se sont d間ag閟 des d閎ats.

 

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES: GABON
蒝ALUATION DE L'OEPC 

L'examen permet ?l'OEPC d'関aluer collectivement, de mani鑢e r間uli鑢e, toute la gamme des politiques et pratiques commerciales de chacun des pays Membres de l'OMC en vue de suivre les tendances et faits nouveaux importants qui peuvent avoir une incidence sur le syst鑝e de commerce mondial.

L'examen s'appuie sur deux rapports, 閠ablis l'un par le Secr閠ariat de l'OMC, l'autre par le gouvernement int閞ess? qui portent sur tous les aspects de la politique commerciale du pays, y compris les lois et les r間lementations nationales, le cadre institutionnel, les accords bilat閞aux et r間ionaux et les autres accords pr閒閞entiels, les besoins g閚閞aux de l'閏onomie et l'environnement ext閞ieur. Un compte rendu des d閎ats et les remarques finales formul閑s par le Pr閟ident formeront avec ces deux rapports l'examen complet de la politique commerciale du Gabon, qui sera publi?en temps voulu et pourra 阾re obtenu aupr鑣 du Secr閠ariat de l'OMC, Centre William Rappard, 154 rue de Lausanne, 1211 Gen鑦e 21.

Depuis d閏embre 1989, il a 閠?proc閐??l'examen de la politique commerciale des pays ou groupes de pays suivants: Afrique du Sud (1993 et 1998), Argentine (1992 et 1999), Australie (1989, 1994 et 1998), Autriche (1992), Bahre飊 (2000), Bangladesh (1992 et 2000), B閚in (1997), Bolivie (1993 et 1999), Botswana (1998), Br閟il (1992, 1996 et 2000), Brun閕 Darussalam (2001), Burkina Faso (1998), Cameroun (1995), Canada (1990, 1992, 1994, 1996, 1998 et 2000), Chili (1991 et 1997), Chypre (1997), Colombie (1990 et 1996), Communaut閟 europ閑nnes (1991, 1993, 1995, 1997 et 2000), Cor閑, R閜. de (1992, 1996 et 2000), Costa Rica (1995 et 2001), C魌e d'Ivoire (1995), 蒰ypte (1992 et 1999), El Salvador (1996), 蓆ats-Unis (1989, 1992, 1994, 1996 et 1999), Fidji (1997), Finlande (1992), Gabon (2001), Ghana (1992 et 2001), Guin閑 (1999), Hong Kong (1990, 1994 et 1998), Hongrie (1991 et 1998), 蝜es Salomon (1998), Inde (1993 et 1998), Indon閟ie (1991, 1994 et 1998), Islande (1994 et 2000), Isra雔 (1994 et 1999), Jama飍ue (1998), Japon (1990, 1992, 1995, 1998 et 2000), Kenya (1993 et 2000), Lesotho (1998), Macao, Chine (1994 et 2001), Madagascar (2001), Malaisie (1993 et 1997), Mali (1998), Maroc (1989 et 1996), Maurice (1995), Membres de l'OMC qui sont membres de l'OECO (2001), Mexique (1993 et 1997), Namibie (1998), Nicaragua (1999), Nig閞ia (1991 et 1998), Norv鑗e (1991, 1996 et 2000), Nouvelle-Z閘ande (1990 et 1996), Ouganda (1995), Pakistan (1995), Papouasie-Nouvelle-Guin閑 (1999), Paraguay (1997), P閞ou (1994 et 2000), Philippines (1993), Pologne (1993), R閜ublique dominicaine (1996), R閜ublique slovaque (1995), R閜ublique tch鑡ue (1996), Roumanie (1992 et 1999), S閚間al (1994), Singapour (1992, 1996 et 2000), Sri Lanka (1995), Su鑔e (1990 et 1994), Suisse (1991, 1996 et 2000 (conjointement avec le Liechtenstein)), Swaziland (1998), Tanzanie (2000), Tha飈ande (1991, 1995 et 1999), Togo (1999), Trinit?et-Tobago (1998), Tunisie (1994), Turquie (1994 et 1998), Uruguay (1992 et 1998), Venezuela (1996), Zambie (1996) et Zimbabwe (1994).

 

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES: GABON
REMARQUES FINALES DU PR蒘IDENT
  haut de page

J'ai constat?de la part des d閘間ations ici pr閟entes une atmosph鑢e chaleureuse et de soutien pour le Gabon au cours du premier examen de sa politique commerciale, que j'estime particuli鑢ement bien r閡ssi. Nous avons tous appris 閚orm閙ent sur la situation du Gabon, de son potentiel et de ses d閒is. Nous avons eu un dialogue tr鑣 fructueux au sujet de la r閒orme 閏onomique que le Gabon a entam閑 et du r鬺e de la politique commerciale dans celle-ci. Ce processus a 閠? facilit?par la pr閟ence d'une d閘間ation importante et multidisciplinaire, men閑 habilement par M. le Ministre Mabika.

Nous avons pu appr閏ier, en particulier, les actions prises par le gouvernement du Gabon afin d'accro顃re son int間ration dans le syst鑝e multilat閞al commercial. La cr閍tion d'un Comit?national pour suivre les questions OMC depuis la capitale est un pas d閏isif. De nombreux intervenants ont reconnu l'action du Gabon en faveur de l'OMC en Afrique, ayant 閠?l'h魌e des Ministres du commerce au moment de la Conf閞ence de Libreville, tenue au mois de novembre dernier.

Nous sommes tous d'accord que la sant?de l'閏onomie gabonaise est fortement tributaire de la rente p閠roli鑢e, qui se tarit actuellement, et qu'une diversification s'impose par cons閝uent. De nombreuses questions pos閑s par les d閘間ations ont touch??la strat間ie adopt閑 par les autorit閟 pour faire face ?ce d閒i, y compris dans les domaines de la privatisation et de l'investissement, dans lesquels le Gabon a progress? De nombreuses interventions ont 間alement concern?les mesures de soutien que le gouvernement apporte ?sa politique de d関eloppement industriel, notamment la gestion disciplin閑 des finances publiques, la r閒orme de la fonction publique, ainsi que la continuation de la lutte contre la corruption, soutenues par les institutions de Bretton Woods. Dans ce contexte, les mesures incitatives, subventions, r閐uctions ou exon閞ations de taxes internes aux entreprises peuvent 間alement soulever des questions de compatibilit?avec les engagements du Gabon ?l'OMC.

Concernant l'application des instruments de la politique commerciale du Gabon, qui rel鑦e principalement de la Communaut?閏onomique et mon閠aire de l'Afrique centrale, la CEMAC, j'ai not?l'importance qui est accord閑 par les d閘間ations ?une coh閞ence entre les niveaux r間ional et multilat閞al de la politique commerciale. Un souci a 閠?exprim?par des d閘間ations au sujet du fait que les taux appliqu閟 sont au-dessus des taux consolid閟 dans la liste du Gabon sur 40 pour cent des lignes tarifaires. M. le Ministre Mabika nous a assur閟 que ce probl鑝e est reconnu par son gouvernement et que les autorit閟 gabonaises comptent y rem閐ier promptement par des n間ociations au titre de l'article XXVIII du GATT de 1994, en plein respect des r鑗les en la mati鑢e. Quand les autorit閟 auront exp閐i?ce dossier, nous serons tous en mesure de f閘iciter le Gabon pour l'engagement que ce pays a assum? fort peu commun parmi les pays africains, ?savoir une consolidation de toutes ses lignes tarifaires ?des niveaux plafonds.

D'autres questions concernant la mise en 渦vre des Accords OMC ont 閠? signal閑s par certaines d閘間ations. Parmi elles, je rel鑦e la pr閟ence d'une surtaxe, dont la lev閑 devait initialement intervenir ?la mi-2000, mais qui reste en vigueur. M. le Ministre nous a inform閟 qu'il avait l'intention de pr閟enter au gouvernement une proposition en vue de sa suppression. La question des r閐uctions ? la TVA ou aux droits d'accise conc閐閑s aux produits d'entreprises locales a 間alement suscit閑 quelques inqui閠udes, ainsi que la mise en 渦vre des dispositions des Accords sur l'関aluation en douane, sur les mesures antidumping, compensatoires et de sauvegarde. Des soucis ont 閠?exprim閟 au sujet de la mise en 渦vre de l'Accord sur les ADPIC, qui a 閠?retard閑 au Gabon par la n閏essit?d'une ratification collective de l'Accord de Bangui r関is?par les membres de l'OAPI. J'ai cru comprendre des remarques de M. le Ministre Mabika que les ratifications n閏essaires seront bient魌 obtenues et que l'Accord serait mis en 渦vre d'ici deux mois.

Concernant les politiques sectorielles pratiqu閑s par le Gabon, les interventions des d閘間ations ont surtout concern?le probl鑝e de la s閏urit?alimentaire, le besoin d'une gestion durable des ressources naturelles non renouvelables (notamment la p阠he et la for阾), et le renforcement de la comp閠itivit?avec un secteur des services plus performant. Concernant ce dernier, j'ai cru comprendre une invitation au Gabon ?approfondir ses engagements dans le cadre de l'AGCS, notamment au sujet des t閘閏ommunications et des services financiers, ainsi que des transports, dans le contexte des n間ociations en cours.

Des r閜onses pr閏ises ?ces questions ont 閠?donn閑s par M. le Ministre Mabika, et je l'en remercie. Celles-ci, et ses interventions, ont 間alement touch??la question que je me permets de qualifier comme celle qui sous-entend toutes les autres, ?savoir comment un pays en d関eloppement, tel que le Gabon, peut envisager une participation compl鑤e au syst鑝e commercial multilat閞al de l'OMC. M. le Ministre nous a parl?d'un besoin urgent d'un traitement de la dette on閞euse du Gabon, question qui ne rel鑦e pas de l'OMC, mais qui sera sans doute communiqu閑 par les d閘間ations pr閟entes aux responsables de leur capitale. Il nous a 間alement parl?du besoin pressant de son pays pour un renforcement de ses capacit閟 humaines par l'assistance technique, 閘閙ent essentiel pour assurer que la propri閠?du processus de d関eloppement appartienne aux gabonais eux-m阭es.

Heureusement, l'assistance technique figure parmi les domaines o?les pays Membres de l'OMC peuvent agir, comme l'ont reconnu de nombreux intervenants. Ceux-ci ont par ailleurs invit?le Gabon ?pr閏iser ses besoins dans un programme qui serait 関entuellement pris en charge; M. le Ministre a pleinement r閜ondu ?cette demande. Car les Membres de l'OMC partagent le but du Gabon qui est celui de s'ins閞er dans l'閏onomie mondiale et le syst鑝e multilat閞al, et sont pr阾s ?donner leur soutien de fa鏾n significative et concr鑤e. C'est ?ce niveau que nous avons eu v閞itablement une convergence de points de vue entre la d閘間ation du Gabon, le pr閟entateur, le Secr閠ariat ainsi que tous les Membres ici pr閟ents. Je vous en f閘icite et vous remercie de votre participation.