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EXAMENS DES POLITIQUES COMMERCIALES: PREMIER COMMUNIQUE DE PRESSE, RESUME DES RAPPORTS DU SECRETARIAT ET DU GOUVERNEMENT

COMMUNIQUE DE PRESSE
PRESSE/TPRB/174
19 octobre 2001

R閜ublique tch鑡ue: octobre 2001

Le rapport du Secr閠ariat de l'OMC ainsi que la d閏laration de politique g閚閞ale du gouvernement de la R閜ublique tch鑡ue serviront de base pour le deuxi鑝e examen de la politique commerciale de ce pays par l'Organe d'examen des politiques commerciales, qui aura lieu les 17 et 19 octobre 2001.

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Gr鈉e aux exportations et ?l'investissement 閠ranger, la reprise 閏onomique met la R閜ublique tch鑡ue sur la voie de l'int間ration ?l'UE  

Les exportations et l'essor de l'investissement 閠ranger direct ont permis ?l'閏onomie tch鑡ue de se remettre de la r閏ession de 1997-1999 et, apr鑣 trois ann閑s de contraction, le PIB a augment? de 2,9 pour cent en 2000, selon un rapport de l'OMC sur la politique et les pratiques commerciales de la R閜ublique tch鑡ue. Pour lutter contre la r閏ession, le gouvernement tch鑡ue a pris des mesures importantes afin d'am閘iorer le climat 閏onomique, au moyen de r閒ormes int閞ieures et de nouvelles mesures de lib閞alisation du commerce et de l'investissement, indique le rapport.

L'environnement juridique des activit閟 閏onomiques et commerciales s'est beaucoup am閘ior? en R閜ublique tch鑡ue ces cinq derni鑢es ann閑s. Aujourd'hui, il existe un corpus de lois r間issant le commerce int閞ieur et ext閞ieur qui est assez coh閞ent, et l'on peut imputer une grande partie de ces r閟ultats au fait que la R閜ublique tch鑡ue a d閏id?d'adh閞er ?l'Union europ閑nne (UE). Le rapport indique que l'harmonisation avec l'acquis communautaire de l'UE a beaucoup acc閘閞?la mise en 渦vre des r閒ormes.

L'閏onomie tch鑡ue est tr鑣 int間r閑 dans l'閏onomie mondiale. En 2000, le commerce des marchandises (exportations et importations) repr閟entait l'閝uivalent de 120 pour cent du PIB (contre 105 pour cent en 1994), et l'investissement 閠ranger 5,3 pour cent du PIB (9 pour cent en 1999). Sur le plan de la r閜artition g閛graphique des 閏hanges de marchandises, le rapprochement de l'Europe occidentale s'est poursuivi, et t閙oigne de l'int間ration de plus en plus 閠roite de la R閜ublique tch鑡ue ?cette r間ion. En 2000, l'UE a absorb?pr鑣 de 69 pour cent des exportations de marchandises et a fourni 62 pour cent des importations.

Le rapport indique 間alement que la lib閞alisation du commerce ext閞ieur a 閠?un des principaux 閘閙ents du programme de r閒orme mis en 渦vre durant la p閞iode consid閞閑. La moyenne des taux de droits NPF a diminu?de 2 points de pourcentage, tombant ?6 pour cent en 2001. La dispersion des droits et le nombre de taux ont aussi diminu?depuis le pr閏閐ent examen. Le tarif tch鑡ue ne comportant aucun droit sp閏ifique, composite ou autre que des droits ad valorem, il est transparent. Toutes les lignes tarifaires sont consolid閑s (dans presque tous les cas au taux NPF effectivement appliqu?, ce qui accro顃 la pr関isibilit?de l'environnement commercial.

Toutefois, la plupart des produits agricoles restent prot間閟 par des droits relativement 閘ev閟. La moyenne simple des droits NPF applicables ?ces produits (d閒inition OMC) 閠ait de 13,4 pour cent en 2001, contre 4,3 pour cent pour les produits non agricoles.

Comme la R閜ublique tch鑡ue est partie ?un grand nombre d'accords commerciaux pr閒閞entiels, les taux NPF ne s'appliquent qu'?une proportion limit閑 de ses importations (en 1999, 78 pour cent des importations provenaient de pays partenaires ?un accord de libre-閏hange). La R閜ublique tch鑡ue a continu?de d関elopper son r閟eau d'accords commerciaux pr閒閞entiels. Elle a conclu plusieurs accords durant la p閞iode consid閞閑 (Estonie, Lettonie, Lituanie, Isra雔 et Turquie) et a poursuivi son programme de lib閞alisation dans le cadre des accords d閖?existants. Ceux-ci ont aid??ouvrir le march?tch鑡ue, mais ils peuvent aussi fausser le commerce et la structure de l'investissement dans la mesure o?les marges de pr閒閞ences sont diff閞entes. Il est difficile de savoir vraiment quel impact l'adh閟ion de la R閜ublique tch鑡ue ? l'UE pourrait avoir sur la cr閍tion nette d'閏hanges. On s'attend ? ce que les obstacles non tarifaires NPF diminuent. En revanche, il est probable que l'appartenance ?l'UE fera augmenter la protection de l'agriculture, car actuellement la moyenne des droits NPF sur les produits agricoles est plus 閘ev閑 dans l'UE qu'en R閜ublique tch鑡ue; il est aussi probable que l'aide ?l'agriculture augmentera sensiblement. N閍nmoins, l'int間ration dans l'UE devrait acc閘閞er le d関eloppement 閏onomique de la R閜ublique tch鑡ue et ouvrir de nouvelles perspectives en mati鑢e de r閒ormes 閏onomiques et commerciales.

Il y a relativement peu d'obstacles non tarifaires. Un r間ime de licence non automatique continue de s'appliquer aux importations de sucre, charbon, explosifs et armes ?feu, entre autres. Dans le cadre de l'accession ?l'UE, la R閜ublique tch鑡ue harmonise ses normes et r鑗lements techniques avec ceux de l'UE. ?cet effet, elle a adopt? plusieurs lois et simplifi?les processus d'essai et de normalisation. Elle a aussi conclu des accords de reconnaissance mutuelle des r閟ultats des 関aluations de conformit?avec plusieurs pays. Les modifications apport閑s aux lois r間issant les march閟 publics ont accru la transparence, mais le r間ime para顃 dans certains cas 阾re discriminatoire ?l'間ard des entreprises 閠rang鑢es. La R閜ublique tch鑡ue a acquis le statut d'observateur dans le cadre de l'Accord de l'OMC sur les march閟 publics en ao鹴 2000. Durant la p閞iode consid閞閑, les r鑗les r間issant la concurrence et les lois sur les droits de propri閠?intellectuelle ont 閠? renforc閑s. Pour ce qui est des mesures conditionnelles, la R閜ublique tch鑡ue a r閏emment adopt?des lois concernant les mesures antidumping, les mesures compensatoires et les mesures de sauvegarde. Reste ?voir si elle emploiera souvent ces dispositions.

Parall鑜ement ?la lib閞alisation du r間ime de l'investissement 閠ranger, l'investissement 閠ranger total (net) a beaucoup augment?ces derni鑢es ann閑s, jusqu'?atteindre quelque 9 pour cent du PIB en 1999. Dans le cadre de son adh閟ion ?l'Organisation de coop閞ation et de d関eloppement 閏onomiques (OCDE), en d閏embre 1995, la R閜ublique tch鑡ue a accept?de respecter, sauf quelques exceptions, les normes de l'OCDE en mati鑢e d'間alit?de traitement des investisseurs 閠rangers et nationaux et de restrictions visant les incitations sp閏iales ?l'investissement. Selon le rapport, l'investissement 閠ranger reste limit?ou contr鬺?dans quelques secteurs (principalement de services).

Le rapport indique que la R閜ublique tch鑡ue a progressivement modifi? sa politique en mati鑢e d'incitations ?l'investissement 閠ranger. En mai 2000, elle a adopt?un ensemble d'incitations rompant avec la politique ant閞ieure consistant ?offrir des incitations au cas par cas (sous r閟erve d'approbation par le gouvernement), ce qui est une innovation majeure par rapport ?la politique men閑 entre 1992 et 1998 et consistant ?n'offrir aucune incitation. Ces mesures paraissent con鐄es pour aligner le r間ime de la R閜ublique tch鑡ue sur celui des pays avec lesquels elle est en concurrence pour attirer des investisseurs 閠rangers. Toutefois, il n'est pas 関ident que les avantages de ces mesures d閜asseront leur co鹴.

En ce qui concerne les autres secteurs des services, la R閜ublique tch鑡ue a ouvert le secteur des t閘閏ommunications ?la concurrence en admettant progressivement des investisseurs nationaux et 閠rangers sur son march? L'entreprise monopolistique des t閘閏ommunications a 閠?en partie privatis閑 et, depuis peu de temps, de nouveaux op閞ateurs ont 閠?autoris閟 ?fournir des services de t閘閜honie internationale et interurbaine. La lib閞alisation des services de transport a fait des progr鑣. Comme en 1996, ce secteur est tr鑣 contrast? La R閜ublique tch鑡ue a une industrie du camionnage relativement comp閠itive et une compagnie d'aviation non subventionn閑, mais les services de transport ferroviaire de passagers et, dans une moindre mesure, les services d'autocar, n閏essitent des transferts importants pour couvrir leurs pertes.

 
Notes ?l'intention des journalistes

Les examens des politiques commerciales sont un exercice, prescrit dans les Accords de l'OMC, au cours duquel les politiques commerciales et les politiques connexes des pays Membres sont examin閑s et 関alu閑s p閞iodiquement. Les faits nouveaux importants qui peuvent avoir une incidence sur le syst鑝e commercial mondial font aussi l'objet d'un suivi. Pour chaque examen, deux documents sont 閠ablis: une d閏laration de politique g閚閞ale pr閟ent閑 par le gouvernement du Membre soumis ?examen et un rapport d閠aill?r閐ig?de mani鑢e ind閜endante par le Secr閠ariat de l'OMC. Ces deux documents sont ensuite examin閟 par l'ensemble des Membres de l'OMC dans le cadre de l'Organe d'examen des politiques commerciales (OEPC). Ces documents et les comptes rendus des r閡nions de l'OEPC sont publi閟 peu de temps apr鑣. Depuis 1995, c'est-?dire depuis l'entr閑 en vigueur de l'Accord sur l'OMC, les services et les aspects des droits de propri閠?intellectuelle qui touchent au commerce sont 間alement trait閟.

S'agissant du pr閟ent examen, le rapport du Secr閠ariat de l'OMC et une d閏laration de politique g閚閞ale 閘abor閑 par le gouvernement de la R閜ublique tch鑡ue seront examin閟 par l'Organe d'examen des politiques commerciales les 17 et 19 octobre 2001. Le rapport du Secr閠ariat concerne l'関olution de tous les aspects de la politique commerciale de la R閜ublique tch鑡ue depuis l'examen pr閏閐ent, y compris les lois et r間lementations int閞ieures, le cadre institutionnel et la politique commerciale par mesure, ainsi que l'関olution de certains secteurs.

Au pr閟ent communiqu?de presse sont jointes une vue d'ensemble du rapport du Secr閠ariat et certaines parties de la d閏laration de politique g閚閞ale du gouvernement. Le rapport du Secr閠ariat et la d閏laration de politique g閚閞ale du gouvernement sont ?la disposition des journalistes ?la salle de presse du site Internet de l'OMC (www.2n2y.com). Ces deux documents, le compte rendu des d閎ats de l'OEPC et les remarques finales formul閑s par le Pr閟ident seront regroup閟 en temps opportun dans une publication broch閑 qui pourra 阾re obtenue aupr鑣 du Secr閠ariat de l'OMC, Centre William Rappard, 154 rue de Lausanne, 1211 Gen鑦e 21.

Depuis d閏embre 1989, il a 閠?proc閐??l'examen de la politique commerciale des pays ou groupes de pays suivants: Afrique du Sud (1993 et 1998), Argentine (1992 et 1999), Australie (1989, 1994 et 1998), Autriche (1992), Bahre飊 (2000), Bangladesh (1992 et 2000), B閚in (1997), Bolivie (1993 et 1999), Botswana (1998), Br閟il (1992, 1996 et 2000), Brun閕 Darussalam (2001), Burkina Faso (1998), Cameroun (1995 et 2001), Canada (1990, 1992, 1994, 1996, 1998 et 2000), Chili (1991 et 1997), Chypre (1997), Colombie (1990 et 1996), Communaut閟 europ閑nnes (1991, 1993, 1995, 1997 et 2000), Cor閑, R閜. de (1992, 1996 et 2000), Costa Rica (1995 et 2001), C魌e d'Ivoire (1995), 蒰ypte (1992 et 1999), El Salvador (1996), 蓆ats-Unis (1989, 1992, 1994, 1996, 1999 et 2001), Fidji (1997), Finlande (1992), Gabon (2001), Ghana (1992 et 2001), Guin閑 (1999), Hong Kong (1990, 1994 et 1998), Hongrie (1991 et 1998), 蝜es Salomon (1998), Inde (1993 et 1998), Indon閟ie (1991, 1994 et 1998), Islande (1994 et 2000), Isra雔 (1994 et 1999), Jama飍ue (1998), Japon (1990, 1992, 1995, 1998 et 2000), Kenya (1993 et 2000), Lesotho (1998), Macao (1994 et 2001), Madagascar (2001), Malaisie (1993 et 1997), Mali (1998), Maroc (1989 et 1996), Maurice (1995), Mexique (1993 et 1997), Mozambique (2001), Namibie (1998), Nicaragua (1999), Nig閞ia (1991 et 1998), Norv鑗e (1991, 1996 et 2000), Nouvelle-Z閘ande (1990 et 1996), OECO (2001), Ouganda (1995), Pakistan (1995), Papouasie-Nouvelle-Guin閑 (1999), Paraguay (1997), P閞ou (1994 et 2000), Philippines (1993 et 1999), Pologne (1993 et 2000), R閜ublique dominicaine (1996), R閜ublique slovaque (1995), R閜ublique tch鑡ue (1996 et 2001), Roumanie (1992 et 1999), S閚間al (1994), Singapour (1992, 1996 et 2000), Sri Lanka (1995), Su鑔e (1990 et 1994), Suisse (1991, 1996 et 2000 (conjointement avec le Liechtenstein)), Swaziland (1998), Tanzanie (2000), Tha飈ande (1991, 1995 et 1999), Togo (1999), Trinit?et-Tobago (1998), Tunisie (1994), Turquie (1994 et 1998), Uruguay (1992 et 1998), Venezuela (1996), Zambie (1996) et Zimbabwe (1994).

 

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Rapport du Secr閠ariat  

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES
R蒔UBLIQUE TCH萉UE
Rapport du Secr閠ariat ?Observations r閏apitulatives

L'閏onomie tch鑡ue se remet de la r閏ession de 1997-1999; gr鈉e ?la forte expansion des exportations et de l'investissement 閠ranger direct, le PIB a augment?de 2,9 pour cent en 2000, apr鑣 trois ann閑s de contraction. Cette r閏ession avait 閠?due ?des facteurs tant micro-閏onomiques, tels que l'insuffisance de la restructuration des entreprises et des banques, que macro-閏onomiques, notamment la d閠閞ioration des comptes des administrations publiques.

Pour lutter contre la r閏ession, le gouvernement tch鑡ue a pris des mesures importantes afin d'am閘iorer le climat 閏onomique, au moyen de r閒ormes int閞ieures et de nouvelles mesures de lib閞alisation du commerce et de l'investissement. L'environnement juridique des activit閟 閏onomiques et commerciales s'est aussi beaucoup am閘ior?depuis le pr閏閐ent examen de la politique commerciale de la R閜ublique tch鑡ue fait en 1996. Aujourd'hui, il existe un corpus de lois r間issant le commerce int閞ieur et ext閞ieur qui est assez coh閞ent. On peut imputer une grande partie de ces r閟ultats au fait que la R閜ublique tch鑡ue a d閏id?d'adh閞er ?l'Union europ閑nne (UE). L'harmonisation avec l'acquis communautaire de l'UE a beaucoup acc閘閞?la mise en 渦vre des r閒ormes. Sur le papier, l'environnement juridique para顃 satisfaisant, mais apparemment les m閏anismes de r鑗lement des diff閞ends restent insuffisants. Le fait que les tribunaux commerciaux sont surcharg閟 et la faiblesse des moyens d'application de la loi sont des facteurs jug閟 nocifs pour l'environnement commercial.

L'閏onomie tch鑡ue est tr鑣 int間r閑 dans l'閏onomie mondiale. En 2000, le commerce des marchandises (exportations et importations) repr閟entait l'閝uivalent de 120 pour cent du PIB (contre 105 pour cent en 1994), et l'investissement 閠ranger 5,3 pour cent du PIB (9 pour cent en 1999). Sur le plan de la r閜artition g閛graphique des 閏hanges de marchandises, le rapprochement de l'Europe occidentale s'est poursuivi. En 2000, l'UE a absorb?pr鑣 de 69 pour cent des exportations de marchandises et a fourni 62 pour cent des importations.

La R閜ublique tch鑡ue participe activement aux travaux de l'OMC. Elle accorde au moins le traitement NPF ?tous les Membres de l'OMC, ainsi qu'?plusieurs autres pays avec lesquels elle a sign?des accords bilat閞aux. Durant la p閞iode consid閞閑, elle a continu? de prendre des engagements importants dans le cadre multilat閞al, notamment en ce qui concerne les t閘閏ommunications de base et les services financiers. Elle a 閠?impliqu閑 dans deux affaires trait閑s par le m閏anisme de r鑗lement des diff閞ends de l'OMC, une fois en qualit?de plaignant et une fois en qualit?de d閒endeur. Ces deux diff閞ends ont 閠?r間l閟 au moyen de consultations bilat閞ales.

La lib閞alisation du commerce ext閞ieur a 閠?un des principaux 閘閙ents du programme de r閒orme mis en 渦vre durant la p閞iode consid閞閑. La moyenne des taux de droits NPF a diminu?de 2 pour cent, tombant ?6 pour cent en 2001. La dispersion des droits et le nombre de taux ont aussi diminu?depuis le pr閏閐ent examen. Le tarif tch鑡ue ne comporte que des droits ad valorem et est donc transparent. Toutes les lignes tarifaires sont consolid閑s (dans presque tous les cas au taux NPF effectivement appliqu?, ce qui accro顃 la pr関isibilit?de l'environnement commercial.

La plupart des produits agricoles restent prot間閟 par des droits relativement 閘ev閟. La moyenne simple des droits NPF applicables ? ces produits (d閒inition OMC) 閠ait de 13,4 pour cent en 2001, contre 4,3 pour cent pour les produits non agricoles.

Comme la R閜ublique tch鑡ue est partie ?un grand nombre d'accords commerciaux pr閒閞entiels, les taux NPF ne s'appliquent qu'?une proportion limit閑 de ses importations (en 1999, 78 pour cent des importations provenaient de pays partenaires ?un accord de libre-閏hange). La R閜ublique tch鑡ue a continu?de d関elopper son r閟eau d'accords commerciaux pr閒閞entiels. Dans le cadre de son programme d'accession ?l'UE, elle a d?adopter tous les accords pr閒閞entiels conclus par l'UE avec des pays tiers. ?cet effet, elle a conclu plusieurs accords durant la p閞iode consid閞閑 (Estonie, Lettonie, Lituanie, Isra雔 et Turquie) et a poursuivi son programme de lib閞alisation dans le cadre des accords d閖?existants. Ceux-ci ont aid??ouvrir le march?tch鑡ue, mais ils peuvent aussi fausser le commerce et la structure de l'investissement dans la mesure o?les marges de pr閒閞ences sont diff閞entes. Il est difficile de savoir vraiment quel impact l'adh閟ion de la R閜ublique tch鑡ue ? l'UE pourrait avoir sur la cr閍tion nette d'閏hanges. On s'attend ? ce que les obstacles non tarifaires NPF diminuent. En revanche, il est probable que l'appartenance ?l'UE fera augmenter la protection de l'agriculture, car actuellement la moyenne des droits NPF sur les produits agricoles est plus 閘ev閑 dans l'UE qu'en R閜ublique tch鑡ue; il est aussi probable que l'aide ? l'agriculture augmentera sensiblement. N閍nmoins, l'int間ration dans l'UE devrait acc閘閞er le d関eloppement 閏onomique de la R閜ublique tch鑡ue et ouvrir de nouvelles perspectives en mati鑢e de r閒ormes 閏onomiques et commerciales.

Il y a relativement peu d'obstacles non tarifaires. Certains articles ont 閠?retir閟 de la liste des produits sujets ?licence automatique durant la p閞iode consid閞閑. Un r間ime de licence non automatique continue de s'appliquer aux importations de sucre, charbon, explosifs et armes ?feu, entre autres. Dans le cadre de l'accession ?l'UE, la R閜ublique tch鑡ue harmonise ses normes et r鑗lements techniques avec ceux de l'UE. ?cet effet, elle a adopt?plusieurs lois et simplifi?les processus d'essai et de normalisation. Elle a aussi conclu des accords de reconnaissance mutuelle des r閟ultats des 関aluations de conformit?avec plusieurs pays. Les modifications apport閑s aux lois r間issant les march閟 publics ont accru la transparence, mais le r間ime para顃 dans certains cas 阾re discriminatoire ?l'間ard des entreprises 閠rang鑢es. La R閜ublique tch鑡ue a acquis le statut d'observateur dans le cadre de l'Accord de l'OMC sur les march閟 publics en ao鹴 2000. Durant la p閞iode consid閞閑, les r鑗les r間issant la concurrence et les lois sur les droits de propri閠?intellectuelle ont 閠? renforc閑s. Pour ce qui est des mesures conditionnelles, la R閜ublique tch鑡ue a r閏emment adopt?des lois concernant les mesures antidumping, les mesures compensatoires et les mesures de sauvegarde. Reste ?voir si elle emploiera souvent ces dispositions.

Parall鑜ement ?la lib閞alisation du r間ime de l'investissement 閠ranger, l'investissement 閠ranger total (net) a beaucoup augment?ces derni鑢es ann閑s, jusqu'?atteindre quelque 9 pour cent du PIB en 1999. Dans le cadre de son adh閟ion ?l'Organisation de coop閞ation et de d関eloppement 閏onomiques (OCDE), en d閏embre 1995, la R閜ublique tch鑡ue a accept?de respecter, sauf quelques exceptions, les normes de l'OCDE en mati鑢e d'間alit?de traitement des investisseurs 閠rangers et nationaux et de restrictions visant les incitations sp閏iales ?l'investissement. L'investissement 閠ranger reste limit?ou contr鬺?dans quelques secteurs (principalement de services).

Durant la p閞iode consid閞閑, la R閜ublique tch鑡ue a progressivement modifi?sa politique en mati鑢e d'incitations ?l'investissement 閠ranger. En mai 2000, elle a adopt?un ensemble d'incitations rompant avec la politique ant閞ieure consistant ?offrir des incitations au cas par cas (sous r閟erve d'approbation par le gouvernement), ce qui est une innovation majeure par rapport ?la politique men閑 entre 1992 et 1998 et consistant ?n'offrir aucune incitation. Ces mesures paraissent con鐄es pour aligner le r間ime de la R閜ublique tch鑡ue sur celui des pays avec lesquels elle est en concurrence pour attirer des investisseurs 閠rangers. Toutefois, il n'est pas 関ident que les avantages de ces mesures d閜asseront leur co鹴. En g閚閞al, les incitations ?l'investissement ne sont pas des mesures optimales.

Les carences du secteur bancaire ont 閠?une des causes de la r閏ession de 1997. Les banques d'蓆at ont pr阾?de fa鏾n imprudente, ce qui a permis aux entreprises de diff閞er leur restructuration. Le fait que les entreprises n'ont pas 閠?r閒orm閑s est aussi d?aux interventions de l'蓆at, en tant qu'actionnaire indirect (les banques d'蓆at poss閐aient des fonds de placement qui poss閐aient eux-m阭es des entreprises). De plus, il est apparu que les carences de la r間lementation et du contr鬺e des 閠ablissements du march? des capitaux (fonds de placement, caisses de retraite et compagnies d'assurance) risquaient d'emp阠her d'am閘iorer le gouvernement des entreprises et d'acc閘閞er leur restructuration. Plusieurs r閒ormes des banques et du march?des capitaux ont donc 閠?faites, par 閠apes. Bon nombre d'entre elles visaient aussi ?harmoniser le droit et la r間lementation tch鑡ues avec ceux de l'UE. En particulier, la Banque centrale a renforc?la r間lementation du contr鬺e bancaire, adopt?un principe de contr鬺e consolid? d閏id?de tenir compte du risque de march?pour l'application des ratios de fonds propres, durci les exigences en mati鑢e de provisions et annul?l'agr閙ent de plusieurs banques. La privatisation a aussi aid??rem閐ier aux d閒aillances du secteur bancaire. Trois grandes banques d'蓆at ayant 閠?privatis閑s durant la p閞iode consid閞閑, il n'en reste plus qu'une, qui devrait aussi 阾re privatis閑 durant le deuxi鑝e semestre de 2001.

Pour restructurer les entreprises, le gouvernement a cr殫 une Agence de revitalisation, charg閑 de pr閜arer la privatisation d'un petit nombre de soci閠閟 tr鑣 endett閑s. L'insuffisance du r間ime des faillites a 閠?per鐄e comme un obstacle ?la restructuration des entreprises et, en cons閝uence, les autorit閟 ont modifi?la Loi sur les faillites ?plusieurs reprises depuis 1996 afin de faciliter et d'acc閘閞er le processus de r鑗lement judiciaire. N閍nmoins, la loi actuelle para顃 pr閟enter encore quelques lacunes.

En ce qui concerne les autres secteurs des services, la R閜ublique tch鑡ue a ouvert le secteur des t閘閏ommunications ?la concurrence en admettant progressivement des investisseurs nationaux et 閠rangers sur son march? L'entreprise monopolistique des t閘閏ommunications a 閠?en partie privatis閑 et, depuis peu de temps, de nouveaux op閞ateurs ont 閠?autoris閟 ?fournir des services de t閘閜honie internationale et interurbaine. La lib閞alisation des services de transport a fait des progr鑣. Comme en 1996, ce secteur est tr鑣 contrast? La R閜ublique tch鑡ue a une industrie du camionnage relativement comp閠itive et une compagnie d'aviation non subventionn閑, mais les services de transport ferroviaire de passagers et, dans une moindre mesure, les services d'autocar, n閏essitent des transferts importants pour couvrir leurs pertes.

 

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Rapport du gouvernement  

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES
R蒔UBLIQUE TCH萉UE
Rapport du gouvernement — Parties IV

Orientations futures de la politique commerciale ?nbsp; Nouvelles n間ociations de l'OMC

Le tournant du mill閚aire est caract閞is?par un d関eloppement rapide de l'閏onomie du monde, par le ph閚om鑞e de mondialisation de cette 閏onomie, et par les fluctuations affectant les conditions du commerce international. Ces facteurs g閚鑢ent des pressions importantes sur l'OMC qui doit s'adapter aux nouvelles tendances, pr閟erver le bien-fond?de son existence et jouer un r鬺e essentiel dans la bonne orientation de la mondialisation et la r閜artition 閝uitable des avantages qui en d閏oulent.

La R閜ublique tch鑡ue estime que la meilleure r閜onse ?ces d閒is consiste ?lancer un nouveau cycle global de n間ociations commerciales multilat閞ales. C'est uniquement ?travers ce type de n間ociations, au cours desquelles les Membres de l'OMC s'efforcent d'obtenir des r閟ultats mutuellement favorables, en fonction de l'閝uilibre des droits et des obligations, que les int閞阾s et les besoins des Membres peuvent 阾re pris en compte. Un nouveau cycle constitue 間alement un pr閍lable ?une implication plus tangible des pays en d関eloppement et des pays en transition dans le syst鑝e commercial multilat閞al. De plus, la tenue d'un cycle est n閏essaire pour que soit d閙ontr閑 la capacit?de l'OMC et de ses Membres ? r閜ondre aux pr閛ccupations du grand public ?l'間ard du fonctionnement du syst鑝e commercial multilat閞al, et pour obtenir le soutien de la population au regard de l'accroissement de la lib閞alisation des 閏hanges commerciaux. Enfin et surtout, un nouveau cycle constitue la meilleure contribution au d閎at actuel sur le rapport entre le multilat閞alisme et le r間ionalisme.

Pour toutes ces raisons, les autorit閟 tch鑡ues feront tout leur possible pour qu'un consensus soit atteint permettant de lancer un nouveau cycle au moment de la quatri鑝e Conf閞ence minist閞ielle de Doha (du 9 au 13 novembre 2001).

La port閑 d'un nouveau cycle doit d閜asser les n間ociations prescrites sur l'agriculture, les services et les droits de propri閠? intellectuelle. Les n間ociations men閑s dans ces domaines ne peuvent g閚閞er les r閟ultats attendus que si elles sont d閒inies dans un cadre plus large autorisant des compromis entre les divers secteurs. La composante acc鑣 aux march閟 du cycle doit 阾re compl閠閑 par des n間ociations sur les produits non agricoles, qui ont toujours constitu?l'un des programmes essentiels du GATT, et ?pr閟ent de l'OMC. Les n間ociations doivent aboutir non seulement ?des mesures ax閑s sur l'am閘ioration de l'acc鑣 aux march閟, mais aussi ?un renforcement et ?une clarification des r鑗les existantes ainsi qu'?l'閘aboration de nouvelles r鑗les et disciplines en r閍ction au caract鑢e fluctuant du commerce international. La R閜ublique tch鑡ue estime que les probl鑝es li閟 au d関eloppement 閏onomique joueront un r鬺e essentiel ?toutes les 閠apes des n間ociations et que le processus consistant ?contracter de nouvelles obligations devra 阾re soutenu par un accroissement de l'assistance technique aux pays en d関eloppement.

Passant ?pr閟ent ?divers sujets de n間ociation, la R閜ublique tch鑡ue se dit dispos閑 ?prendre part au processus de r閐uction du soutien et de la protection de l'agriculture, ?condition qu'un 閝uilibre appropri?entre les pr閛ccupations commerciales et non commerciales issues de l'Accord sur l'agriculture soit maintenu. Par ailleurs, le gouvernement s'attend ?ce que les n間ociations tiennent compte des conditions particuli鑢es de pays comme la R閜ublique tch鑡ue dont le secteur agricole a subi un processus de transformation radical et douloureux, qui ont atteint un niveau d'ouverture de march?閘ev? et qui, par cons閝uent, rechercheront au cours des n間ociations une certaine souplesse quant aux modalit閟 des nouveaux engagements de r閐uction.

Dans les n間ociations visant ?obtenir une 閘関ation progressive des niveaux de lib閞alisation du commerce des services, la R閜ublique tch鑡ue est d'avis qu'aucun secteur de service ni aucune m閠hode de livraison de service ne devraient 阾re exclus a priori. Des proc閐ures appropri閑s devraient 阾re adopt閑s pour permettre la reconnaissance des mesures de lib閞alisation unilat閞ales. La R閜ublique tch鑡ue applique un nombre important de mesures de ce type et elle est pr阾e, dans le cadre de n間ociations sur l'acc鑣 aux march閟, ?programmer leur consolidation, en fonction des propositions de ses partenaires et en 閏hange de leurs concessions.

La R閜ublique tch鑡ue maintient que les questions relatives ?la protection additionnelle des indications g閛graphiques font partie des n間ociations prescrites, et que ces derni鑢es englobent 間alement l'閘argissement de la protection additionnelle aux produits diff閞ents des vins et spiritueux. Il est essentiel qu'? Doha, les ministres donnent ?l'OMC mandat de mener ?leur fin les n間ociations relatives aux indications r間ionales en m阭e temps que les n間ociations traitant d'autres sujets.

Outres les n間ociations prescrites, la lib閞alisation du commerce des produits non agricoles devrait constituer un autre volet important de l'ordre du jour visant ?am閘iorer l'acc鑣 aux march閟. Les n間ociations devraient inclure tous les produits ou groupes de produits sans 閠ablir de priorit?entre ces derniers. Les n間ociations de Doha devraient aboutir ?des proc閐ures concr鑤es pour l'閠ablissement de nouveaux engagements.

Outre l'acc鑣 aux march閟, le cycle devrait conduire ?la mise au point de nouvelles r鑗les dans les domaines de l'investissement, de la concurrence, de la transparence en mati鑢e de march閟 publics et de la facilitation du commerce. Depuis le d閎ut des d閎ats sur ces questions au sein de l'OMC, en 1996, des progr鑣 consid閞ables ont 閠?r閍lis閟, ce qui justifie le fait de lancer des n間ociations ?pr閟ent. La R閜ublique tch鑡ue est fermement partisane de l'ouverture de ces n間ociations.

Le soutien donn?par la R閜ublique tch鑡ue ?des n間ociations dans les domaines de l'investissement et de la concurrence est motiv?par l'exp閞ience particuli鑢e de ce pays qui a compl鑤ement restructur?son syst鑝e de droits de propri閠?et d閞間lement? son ancien r間ime d'閏onomie planifi閑. Les investissements 閠rangers directs, sur lesquels devraient 阾re ax閑s les n間ociations de l'OMC, auront jou?un r鬺e cl?dans le processus de transformation 閏onomique et acqui鑢ent une importance grandissante pour la continuation du d関eloppement de l'閏onomie. Cela explique l'engagement de la R閜ublique tch鑡ue ?cr閑r un cadre contractuel stable qui permettra de mettre ?la disposition des investisseurs 閠rangers un environnement transparent, pr関isible et juridiquement certain, sans pour autant 閎ranler le pouvoir de r間lementation dont doivent disposer les gouvernements pour mener ? bien leurs objectifs 閏onomiques l間itimes. Un mode de n間ociation ascendante, du type de celle qui est utilis閑 dans le cadre de l'AGCS, devrait 阾re mis en place afin qu'il soit tenu compte des conditions 閏onomiques particuli鑢es des Membres de l'OMC et que chacun puisse contr鬺er le rythme de lib閞alisation.

Dans le domaine de la concurrence, les n間ociations devraient tendre vers l'adoption d'un accord-cadre fond?sur les principes de non-discrimination (traitement national et traitement de la nation la plus favoris閑) et de transparence, mais respectant parfaitement les objectifs de d関eloppement. La priorit?devrait 阾re donn閑 ?la pr関ention contre les pratiques anticoncurrentielles, ?l'obtention d'une dimension internationale et aux obstacles ?l'acc鑣 aux march閟; la coop閞ation entre les administrations nationales responsables de la concurrence devrait 間alement 阾re encourag閑. La diversit?existante des m閠hodes utilis閑s au plan national n'entra頽e aucunement la n閏essit?d'une harmonisation des cadres de la concurrence interne. Elle ratifie plut魌 l'importance d'int間rer des 閘閙ents de souplesse et de progressivit?dans les nouveaux Accords de l'OMC.

La R閜ublique tch鑡ue estime en outre qu'il serait utile de n間ocier un accord visant ?garantir la transparence des proc閐ures appliqu閑s par les Membres en mati鑢e de march閟 publics, en sp閏ifiant le domaine d'applicabilit?de cet accord en fonction des types d'閏hanges, des niveaux administratifs de gestion et d'autres facteurs.

Il serait 間alement souhaitable de lancer des n間ociations pour 閠ablir une s閞ie de r鑗les destin閑s ?simplifier et ? faciliter les proc閐ures r間issant les 閏hanges. Ces r鑗les devraient 阾re fond閑s sur le principe de la non-discrimination en mati鑢e de proc閐ures administratives et devraient conduire ?un all鑗ement substantiel des proc閐ures douani鑢es, ?l'adoption de la transmission 閘ectronique des donn閑s et ?une am閘ioration g閚閞ale de la transparence.

La R閜ublique tch鑡ue est 間alement dispos閑 ?prendre part ?des n間ociations en vue de renforcer et de clarifier les r鑗les d閖? existantes ?par exemple, dans le domaine de la lutte antidumping. Elle souhaiterait que soit mis ?jour de M閙orandum d'accord sur les r鑗les et proc閐ures r間issant le r鑗lement des diff閞ends, de mani鑢e ?ce que l'exp閞ience accumul閑 ?ce jour par la mise en 渦vre du syst鑝e de r鑗lement des diff閞ends soit prise en compte. Le commerce 閘ectronique est un autre domaine dans lequel la R閜ublique tch鑡ue est pr阾e ?coop閞er avec d'autres Membres en vue de cr閑r le cadre le plus favorable possible au d関eloppement des transmissions 閘ectroniques.

Enfin et surtout, la R閜ublique tch鑡ue soutiendra toute mesure visant ? inscrire ?l'ordre du jour du cycle le rapport entre le commerce et l'environnement. L'accroissement de la lib閞alisation du commerce international fond?sur des r鑗les et la protection de l'environnement doivent 阾re trait閟 dans une optique de soutien mutuel, sans toutefois verser dans le protectionnisme environnemental.