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Questions couvertes par les comit閟 et accords de l'OMC
EXAMENS DES POLITIQUES COMMERCIALES: DEUXIEME COMMUNIQUE DE PRESSE, ET CONCLUSIONS DU PRESIDENT

COMMUNIQUE DE PRESSE
PRESSE/TPRB/196
21 juin 2002

Inde: juin 2002

Les 19 et 21 juin 2002, l'Organe d'examen des politiques commerciales (OEPC) de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) a proc閐?au troisi鑝e examen de la politique commerciale de l'Inde. On trouvera ci-joint le texte des remarques finales du Pr閟ident, r閟umant les points essentiels qui se sont d間ag閟 des d閎ats.

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES: INDE
EVALUATION DE L'OEPC
 

Les r閒ormes 閏onomiques ont permis de dynamiser l'閏onomie

L'examen permet ?l'OEPC d'関aluer collectivement, de mani鑢e r間uli鑢e, toute la gamme des politiques et pratiques commerciales de chacun des pays Membres de l'OMC en vue de suivre les tendances et faits nouveaux importants qui peuvent avoir une incidence sur le syst鑝e de commerce mondial.

L'examen s'appuie sur deux rapports, 閠ablis l'un par le Secr閠ariat de l'OMC, l'autre par le gouvernement int閞ess? qui portent sur tous les aspects de la politique commerciale du pays, y compris les lois et r間lementations nationales, le cadre institutionnel, les accords bilat閞aux et r間ionaux et les autres accords pr閒閞entiels, les besoins g閚閞aux de l'閏onomie et l'environnement ext閞ieur. Un compte rendu des d閎ats et les remarques finales du Pr閟ident formeront avec ces deux rapports l'examen complet de la politique commerciale de l'Inde qui sera publi?en temps voulu et pourra 阾re obtenu aupr鑣 du Secr閠ariat de l'OMC, Centre William Rappard, 154 rue de Lausanne, 1211 Gen鑦e 21.

Depuis d閏embre 1989, il a 閠?proc閐??l'examen de la politique commerciale des pays ou groupes de pays suivants: Afrique du Sud (1993 et 1998), Argentine (1992 et 1999), Australie (1989, 1994 et 1998), Autriche (1992), Bahre飊 (2000), Bangladesh (1992 et 2000), B閚in (1997), Bolivie (1993 et 1999), Botswana (1998), Br閟il (1992, 1996 et 2000), Brun閕 Darussalam (2001), Burkina Faso (1998), Cameroun (1995 et 2001), Canada (1990, 1992, 1994, 1996, 1998 et 2000), Chili (1991 et 1997), Chypre (1997), Colombie (1990 et 1996), Communaut閟 europ閑nnes (1991, 1993, 1995, 1997 et 2000), Cor閑, R閜. de (1992, 1996 et 2000), Costa Rica (1995 et 2001), C魌e d'Ivoire (1995), 蒰ypte (1992 et 1999), El Salvador (1996), 蓆ats-Unis (1989, 1992, 1994, 1996, 1999 et 2001), Fidji (1997), Finlande (1992), Gabon (2001), Ghana (1992 et 2001), Guatemala (2002), Guin閑 (1999), Hong Kong (1990, 1994 et 1998), Hongrie (1991 et 1998), 蝜es Salomon (1998), Inde (1993, 1998 et 2002), Indon閟ie (1991, 1994 et 1998), Islande (1994 et 2000), Isra雔 (1994 et 1999), Jama飍ue (1998), Japon (1990, 1992, 1995, 1998 et 2000), Kenya (1993 et 2000), Lesotho (1998), Macao (1994 et 2001), Madagascar (2001), Malaisie (1993, 1997 et 2001), Malawi (2002), Mali (1998), Maroc (1989 et 1996), Maurice (1995 et 2001), Mexique (1993, 1997 et 2002), Mozambique (2001), Namibie (1998), Nicaragua (1999), Nig閞ia (1991 et 1998), Norv鑗e (1991, 1996 et 2000), Nouvelle-Z閘ande (1990 et 1996), OECO (2001), Ouganda (1995 et 2001), Pakistan (1995 et 2002), Papouasie-Nouvelle-Guin閑 (1999), Paraguay (1997), P閞ou (1994 et 2000), Philippines (1993 et 1999), Pologne (1993 et 2000), R閜ublique dominicaine (1996), R閜ublique slovaque (1995 et 2001), R閜ublique tch鑡ue (1996 et 2001), Roumanie (1992 et 1999), S閚間al (1994), Singapour (1992, 1996 et 2000), Slov閚ie (2002), Sri Lanka (1995), Su鑔e (1990 et 1994), Suisse (1991, 1996 et 2000 (conjointement avec le Liechtenstein)), Swaziland (1998), Tanzanie (2000), Tha飈ande (1991, 1995 et 1999), Togo (1999), Trinit?et-Tobago (1998), Tunisie (1994), Turquie (1994 et 1998), Uruguay (1992 et 1998), Venezuela (1996), Zambie (1996) et Zimbabwe (1994).

 

ORGANE D'EXAMEN DES POLITIQUES COMMERCIALES: INDE
REMARQUES FINALES DU PR蒘IDENT
haut de page

Cette r閡nion a permis de beaucoup mieux comprendre la politique commerciale de l'Inde. Le vif succ鑣 de ce troisi鑝e examen de la politique, des pratiques et des mesures commerciales de l'Inde est essentiellement d??la participation active de la d閘間ation de ce pays.

Les Membres ont salu?l'Inde pour la vigueur de ses r閟ultats 閏onomiques au cours de la derni鑢e d閏ennie: la croissance moyenne a 閠?de 6 pour cent par an et la pauvret?a diminu? Ils ont relev?que cela r閟ultait, en grande partie, de la poursuite des r閒ormes 閏onomiques, y compris de la lib閞alisation des 閏hanges, d'une diminution de l'intervention des pouvoirs publics dans l'閏onomie et de la lib閞alisation des secteurs de services essentiels. Les r閒ormes commerciales avaient privil間i?la r閒orme tarifaire et la suppression des restrictions quantitatives ? l'importation.

Les Membres ont relev?que l'Inde visait une croissance 閏onomique encore plus 閘ev閑, en particulier afin de faire reculer davantage la pauvret? Le pays comptait atteindre cet objectif en acc閘閞ant le rythme des r閒ormes, y compris les mesures commerciales, en vue en particulier de r閐uire l'effet d閒avorable du r間ime d'importation sur les exportations. Plusieurs Membres ont 間alement soulign? l'importance de l'investissement, en particulier dans l'infrastructure, et l'urgence de cette question. Bien que la politique en mati鑢e d'investissements 閠rangers directs (IED) ait 閠?sensiblement lib閞alis閑, les flux entrants d'IED n'avaient pas progress?de mani鑢e significative. En outre, le d閒icit budg閠aire important limitait l'investissement public dans l'infrastructure. Le d閒icit avait 間alement des cons閝uences sur la poursuite de la r閒orme des droits de douane qui demeuraient une source tr鑣 importante de recettes fiscales; la r閒orme tarifaire devait s'accompagner d'une r閒orme significative du r間ime de taxation int閞ieur, ce que l'Inde s'effor鏰it de faire.

Les Membres ont salu?les mesures prises par l'Inde pour simplifier sa structure tarifaire, mais se sont dits pr閛ccup閟 par la persistance de taux 閘ev閟, la progressivit?des droits, leur complexit?(y compris les exemptions) et l'閏art entre les taux appliqu閟 et les taux consolid閟. Ils ont demand?des pr閏isions sur les projets visant ?ramener les taux ?deux niveaux (10 et 20 pour cent). L'imposition de droits additionnels et de droits additionnels sp閏iaux pour compenser l'effet des imp魌s indirects demeurait une source de pr閛ccupation.

Les Membres se sont inqui閠閟 du recours accru de l'Inde aux mesures contingentes, notamment aux mesures antidumping. Certains Membres se sont 間alement inqui閠閟 du fait que l'閘imination des restrictions quantitatives avait 閠?suivie d'un recours accru ? d'autres mesures telles que les prescriptions strictes en mati鑢e d'閠iquetage, de certification et de prescriptions SPS. L'Inde a 閠?f閘icit閑 pour les efforts qu'elle d閜loyait en vue de faire respecter les droits de propri閠?intellectuelle ?la fois en adoptant une nouvelle l間islation et en menant des campagnes d'information. Les Membres ont toutefois soulign?que des efforts suppl閙entaires 閠aient n閏essaires dans ce domaine, en particulier compte tenu du besoin de l'Inde d'attirer davantage d'IED. Ils ont relev?l'importance du secteur agricole dans le pays et insist?sur la n閏essit?de lib閞aliser davantage ce secteur afin d'en exploiter toutes les possibilit閟. Les subventions accord閑s aux produits et aux intrants agricoles ont suscit?des pr閛ccupations car elles ont contribu??la hausse des stocks de c閞閍les et ? l'application de restrictions ?l'exportation de produits agricoles. Des Membres ont exhort?l'Inde ?lib閞aliser le secteur des textiles, arguant du fait que la protection du secteur par des droits de douane 閘ev閟 et par les activit閟 r閟erv閑s ?la petite industrie avaient nui ?sa comp閠itivit?

L'Inde a effectu?des progr鑣 significatifs pour r閒ormer les secteurs de services, notamment les t閘閏ommunications, la banque et l'assurance. Des Membres ont pos?des questions en rapport avec la r閒orme du secteur bancaire, y compris le traitement national. Des questions ont 間alement port?sur l'acc鑣 au march?pour d'autres services comme les t閘閏ommunications, les services audiovisuels et les services de logiciels. Les Membres ont estim?que le succ鑣 de l'Inde dans le secteur des services de logiciels montrait qu'elle 閠ait capable de soutenir la concurrence mondiale.

Les Membres ont 間alement demand?des pr閏isions sur plusieurs points particuliers, dont:

  • les proc閐ures d'examen et d'all間ement de la r間lementation excessive de l'閏onomie;

  • les proc閐ures douani鑢es et l'関aluation en douane;

  • les restrictions ?l'importation et les licences d'importation;

  • le r鬺e des entreprises commerciales d'蓆at;

  • les zones franches travaillant pour l'exportation;

  • les prescriptions de r閟ultats dans le secteur automobile;

  • la participation de l'蓆at et le niveau d'engagement public dans les services financiers;

  • la politique en mati鑢e de services de transport et de propri閠? fonci鑢e, les r閒ormes du secteur de l'閘ectricit?et des services postaux publics.

Les Membres se sont f閘icit閟 des r閜onses orales et 閏rites apport閑s par la d閘間ation de l'Inde ainsi que des explications qu'elle a fournies; ils attendent avec int閞阾 de recevoir des r閜onses aux questions rest閑s en suspens.

Ainsi s'ach鑦e l'examen de la politique commerciale de l'Inde. Le nombre important de questions communiqu閑s ?l'avance, les nombreuses interventions (une trentaine), et la participation de haut niveau attestent le r鬺e important que l'Inde joue ?l'OMC. Le pays a 閠? f閘icit?pour le processus de r閒orme qu'il a engag? y compris la lib閞alisation des 閏hanges, et la simplification du r間ime de commerce et d'investissement. Toutefois, je pense que nous nous accordons tous ?reconna顃re que l'Inde doit faire davantage pour atteindre ses objectifs de croissance et faire reculer nettement le taux de pauvret?encore tr鑣 閘ev? ?cet 間ard, les Membres ont pleinement appuy?les efforts d閜loy閟 par l'Inde pour r閒ormer son 閏onomie. De nombreux Membres ont ajout?que ces efforts seraient grandement facilit閟 si les partenaires commerciaux de l'Inde prenaient des mesures aux fins de r閐uire, voire d'閘iminer, les obstacles aux exportations indiennes, en particulier dans le cadre des nouvelles n間ociations men閑s conform閙ent au Programme de Doha pour le d関eloppement. L'Inde a clairement manifest?son soutien ? l'OMC et ?ce programme mais estime que des progr鑣 suppl閙entaires ne seront possibles que si les pays d関elopp閟 tiennent les promesses faites ?Doha. Ce point de vue a 閠?approuv?par beaucoup d'autres Membres, qui attendent de l'Inde qu'elle joue un r鬺e pr閜ond閞ant dans ces n間ociations.