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MODULE DE FORMATION ?L’AGCS: CHAPITRE 1

Objectifs et notions de base

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1.1 Historique

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L’Accord g閚閞al sur le commerce des services (AGCS) est le premier accord multilat閞al qui vise le commerce des services. Sa conclusion a 閠?l’une des plus grandes r閍lisations des n間ociations du Cycle d’Uruguay, de 1986 ?1993. Elle est intervenue pr鑣 d’un demi-si鑓le apr鑣 l’entr閑 en vigueur de l’Accord g閚閞al sur les tarifs douaniers et le commerce (GATT) de 1947, la contrepartie de l’AGCS pour le commerce des marchandises.

La n閏essit?d’un accord sur le commerce des services a 閠?longtemps mise en doute. De vastes compartiments de l’閏onomie des services, allant de l’h魌ellerie et de la restauration aux services personnels, ont traditionnellement 閠?consid閞閟 comme des activit閟 int閞ieures ne se pr阾ant pas ?l’application des notions et instruments de la politique commerciale. D’autres secteurs, allant du transport ferroviaire aux t閘閏ommunications, ont 閠?per鐄s comme des domaines classiques de propri閠?de l’蓆at ou relevant de son contr鬺e, en raison de leur importance du point de vue des infrastructures et de l’existence per鐄e, dans certains cas, de situations de monopole naturel. Un troisi鑝e groupe important de secteurs, notamment la sant? l’閐ucation et les services d’assurance de base, est consid閞?dans bien des cas comme relevant de la responsabilit?de l’蓆at, du fait de son importance pour l’int間ration sociale et la coh閟ion r間ionale, et devrait 阾re strictement r間lement?au lieu d’阾re expos??l’univers impitoyable des march閟.

Toutefois, certains secteurs de services, en particulier la finance internationale et le transport maritime, sont largement ouverts depuis des si鑓les en tant que compl閙ents naturels du commerce des marchandises. D’autres grands secteurs ont subi des mutations techniques et r間lementaires fondamentales au cours des derni鑢es d閏ennies, ce qui les a ouverts ?la participation commerciale priv閑 et a r閐uit, voire 閘imin?les barri鑢es ?l’entr閑 existantes. L’apparition d’Internet a permis de cr閑r de nombreuses variantes de produits commercialisables sur le march?international — des activit閟 bancaires 閘ectroniques ?la t閘閟ant?et au t閘?enseignement — qui 閠aient inconnus il n’y a que deux d閏ennies et a 閘imin?les obstacles au commerce li閟 ?la distance qui avaient d閒avoris? les fournisseurs et les utilisateurs des zones recul閑s (les services professionnels comme le d関eloppement de logiciels, les services-conseils et de consultants en constituent quelques exemples pertinents). Un nombre croissant d’administrations exposent progressivement ?la concurrence des domaines auparavant objets de monopole, les t閘閏ommunications, par exemple.

Ceci traduit un changement fondamental des attitudes. Le cadre traditionnel du service public s’est progressivement r関閘?inappropri?pour le fonctionnement de certains des compartiments les plus dynamiques et novateurs de l’閏onomie, et les administrations manquaient apparemment de l’esprit d’entreprise et de ressources financi鑢es n閏essaires pour exploiter pleinement les possibilit閟 de croissance.

Les services sont devenus depuis quelque temps le compartiment le plus dynamique du commerce international. Depuis 1980, le commerce mondial des services progresse plus rapidement, bien que partant d’une base modeste, que les flux de marchandises. Malgr?la g閚閞alisation des id閑s, les pays en d関eloppement participent activement ?cette croissance. De 1990 ?2000, leurs exportations de services, compos閑s essentiellement de tourisme et de services de voyages, ont progress?3 pour cent plus vite en rythme annuel, sur la base de la balance des paiements, que les exportations des pays d関elopp閟.

Face ?la dynamique du commerce mondial des services, la n閏essit?de r鑗les reconnues au plan international s’est de plus en plus fait sentir.

 

  

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