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MODULE DE FORMATION CONCERNANT L’ACCORD SPS: CHAPITRE 7

Travaux des organisations comp閠entes

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7.1 Les trois organisations “soeurs”

Les trois organisations de normalisation express閙ent cit閑s dans l’Accord SPS existaient d閖?depuis longtemps avant le d閎ut du Cycle d’Uruguay. Toutefois, avant l’adoption de l’Accord SPS, leurs normes n’閠aient directement li閑s ?aucun accord commercial international. Cet 閠at de choses a chang?avec l’entr閑 en vigueur de l’Accord SPS, qui, par le biais de l’article 3, reconna顃 les normes, directives et recommandations de ces organismes internationaux. Le Comit?SPS surveille 間alement l’utilisation de ces normes internationales.

Les travaux des trois organisations soeurs d閜endent de la participation de leurs membres. Tous les membres de l’Accord SPS sont donc encourag閟 ?adh閞er ?ces organisations et ?participer activement aux programmes de travail des trois organisations soeurs. La composition de ces organisations par rapport ?celle de l’OMC est indiqu閑 dans le document G/SPS/GEN/49/Rev.3.

 

Commission du Codex Alimentarius  haut de page

Au d閎ut des ann閑s 60, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) et l’Organisation mondiale de la sant?(OMS) ont reconnu qu’il 閠ait important d’閘aborer des normes alimentaires internationales afin de prot間er la sant?publique et de r閐uire au maximum la d閟organisation du commerce international des produits alimentaires. Le Programme mixte FAO/OMS sur les normes alimentaires a 閠?cr殫 et la Commission du Codex Alimentarius charg閑 de son administration.

Les dirigeants qui ont cr殫 le Programme sur les normes alimentaires et la Commission du Codex Alimentarius 閠aient soucieux de prot間er la sant?des consommateurs et d’assurer des pratiques loyales dans le commerce des produits alimentaires. ?leur avis, ces deux objectifs pourraient 阾re r閍lis閟 de mani鑢e optimale si tous les pays harmonisaient leurs r鑗lements en mati鑢e de produits alimentaires et adoptaient des normes convenues au niveau international. L’harmonisation permettrait, selon eux, de r閐uire les obstacles au commerce et d’assurer une circulation plus libre des produits alimentaires entre les pays, ce qui serait b閚閒ique pour les agriculteurs et leurs familles tout en contribuant ?la lutte contre la faim et la pauvret? Les fondateurs du Programme sur les normes alimentaires sont arriv閟 ?la conclusion que ce programme permettrait de r閟oudre certaines des difficult閟 qui freinaient le libre-閏hange.

Au cours du Cycle d’Uruguay, les n間ociateurs internationaux ont reconnu qu’il 閠ait avantageux de disposer de normes alimentaires universellement uniformes pour assurer la protection des consommateurs. Il n’est donc gu鑢e surprenant que l’Accord SPS ainsi que l’Accord OTC encouragent l’harmonisation internationale des normes alimentaires. Chose importante, l’Accord SPS mentionne les normes, directives et recommandations du Codex comme 閠ant les mesures internationales ?appliquer de pr閒閞ence pour faciliter le commerce international des produits alimentaires.

Le Codex Alimentarius repr閟ente une activit?fond閑 sur des principes scientifiques. Des experts et sp閏ialistes ind閜endants comp閠ents dans une large gamme de disciplines ont contribu?aux travaux de la Commission du Codex Alimentarius pour faire en sorte que ses normes r閟istent ?l’examen scientifique le plus rigoureux. Les travaux de la Commission du Codex Alimentarius, ainsi que ceux de la FAO et de l’OMS, qui jouent un r鬺e compl閙entaire, ont 閠?l’閘閙ent moteur des recherches et 閠udes scientifiques li閑s aux produits alimentaires et la Commission elle-m阭e est devenue un cadre international important pour l’閏hange d’informations scientifiques sur l’innocuit?des produits alimentaires.

Au fil des ann閑s, le Codex a 閘abor?plus de 200 normes visant les produits alimentaires bruts, semi-transform閟 ou transform閟 destin閟 ?阾re vendus aux consommateurs ou destin閟 ?une transformation interm閐iaire et plus de 40 codes en mati鑢e d’hygi鑞e et dans le domaine technologique; il a 関alu?plus de 1 000 additifs alimentaires et 54 m閐icaments v閠閞inaires; il a fix?plus de 3 000 limites maximales pour les r閟idus de pesticides; et il a d閒ini plus de 30 directives pour les contaminants.

Le secr閠ariat de la Commission du Codex Alimentarius se trouve au si鑗e de la FAO ?Rome. Pour plus de renseignements, pri鑢e de visiter le site Web du Codex ?l’adresse http://codexalimentarius.net.

 

Office international des 閜izooties  haut de page

L’Office international des 閜izooties (OIE) est l’organisation mondiale s’occupant de la sant?animale reconnue par l’Accord SPS. Cr殫 en 1924, l’OIE a trois missions principales:

  • renseigner les membres sur l’apparition et le cours des maladies animales dans le monde ainsi que sur les moyens de lutter contre ces maladies;
     
  • coordonner la recherche internationale consacr閑 ?la surveillance des maladies animales et ?la lutte contre ces maladies; et
     
  • promouvoir l’harmonisation des r鑗lements sanitaires relatifs au commerce des animaux et produits d’origine animale entre les pays membres.
      

Ces missions ont pour cadre diff閞entes activit閟, notamment l’閠ablissement de normes, directives et recommandations relatives ?la sant?des animaux. Voici quelques exemples des travaux men閟 dans ce domaine par l’OIE:

  • Code zoosanitaire international (pour les mammif鑢es, les oiseaux et les abeilles)
     
  • Manuel des normes pour les tests de diagnostic et les vaccins
     
  • Code sanitaire international pour les animaux aquatiques (pour les poissons, les mollusques et les crustac閟) et Manuel de diagnostic des maladies des animaux aquatiques
     
  • Listes des pays reconnus comme 閠ant exempts des maladies les plus graves (fi鑦re aphteuse, peste bovine)
      

L’OIE 閠ablit les listes des maladies les plus importantes. Les maladies de la Liste A sont les maladies transmissibles qui ont un grand pouvoir de diffusion et une gravit?particuli鑢e, susceptible de s’閠endre au-del?des fronti鑢es nationales, dont les cons閝uences socio-閏onomiques ou sanitaires sont graves et dont l’incidence sur le commerce international des animaux et des produits d’origine animale est tr鑣 importante. Les maladies de la Liste B s’entendent des maladies transmissibles qui sont consid閞閑s comme importantes du point de vue socio-閏onomique et/ou sanitaire au niveau national et dont les effets sur le commerce international des animaux et des produits d’origine animale ne sont pas n間ligeables.

Les Codes susmentionn閟 ainsi que les Manuels connexes servent de documents de r閒閞ence pour les administrations v閠閞inaires ou les autorit閟 comp閠entes des pays membres et les aident ?閠ablir les r鑗lements sanitaires que leur pays devrait appliquer ?l’importation et ?l’exportation d’animaux vivants et de produits d’origine animale afin d’関iter la diss閙ination d’agents pathog鑞es qui transmettent les maladies de la Liste A ou de la Liste B ?d’autres animaux ou ?des humains.

Outre les recommandations propres aux maladies de la Liste A et de la Liste B, l’OIE a 間alement d閒ini des principes g閚閞aux concernant la m閠hodologie de l’analyse des risques, qui comprend quatre 閘閙ents, ?savoir 関aluation des risques li閟 ?l’importation, 関aluation des services v閠閞inaires, zonage/r間ionalisation, et surveillance et contr鬺e.

Les Codes et Manuels de l’OIE sont p閞iodiquement r関is閟 en raison de l’am閘ioration constante des connaissances scientifiques concernant les agents pathog鑞es et leur mode de diss閙ination, de l’apparition de nouvelles techniques de diagnostic et du perfectionnement des m閠hodes de contr鬺e. Pour l’閘aboration des recommandations de l’OIE, les proc閐ures appliqu閑s dans cette organisation encouragent les pays ?prendre une part active ?l’閘aboration des r鑗les qui s’appliqueront ?d’autres pays aussi bien qu’?eux-m阭es. Ces recommandations sont 閠ablies par consensus par les autorit閟 v閠閞inaires de haut niveau des pays membres.

L’OIE a son si鑗e ?Paris (France). Pour plus de renseignements, pri鑢e de visiter le site Web de l’OIE ?l’adresse http://www.oie.int.

 

Secr閠ariat de la Convention internationale pour la protection des v間閠aux  haut de page

La Convention internationale pour la protection des v間閠aux (CIPV) est un trait?multilat閞al visant la coop閞ation internationale dans le domaine de la protection des v間閠aux. Elle pr関oit l’application de mesures par les 蓆ats pour prot間er leurs ressources v間閠ales des parasites nuisibles (mesures phytosanitaires) susceptibles d’阾re introduits dans le cadre du commerce international. La CIPV est d閜os閑 aupr鑣 du Directeur g閚閞al de la FAO et est administr閑 par le Secr閠ariat de la CIPV, situ?dans le Service de la protection des plantes de la FAO. La CIPV a 閠?adopt閑 en 1951 et a 閠?modifi閑 ?deux reprises, la derni鑢e fois en 1997.

Dans le cadre de sa r関ision qui a 閠?approuv閑 en 1997, la Convention a 閠?actualis閑 pour prendre en compte les concepts phytosanitaires actuellement en vigueur et le r鬺e jou?par la CIPV en rapport avec les Accords de l’OMC issus du Cycle d’Uruguay, notamment l’Accord SPS. L’Accord SPS reconna顃 la CIPV comme l’organisation qui d閒init des normes internationales pour les mesures phytosanitaires. La CIPV est compl閙entaire ?l’Accord SPS en ce sens qu’elle d閒init les normes internationales qui permettent de faire en sorte que les mesures phytosanitaires soient fond閑s sur des principes scientifiques pour 阾re appropri閑s et efficaces et ne soient pas utilis閑s comme des obstacles injustifi閟 au commerce international.

Les travaux de la CIPV portent entre autres sur les normes relatives ?l’analyse des risques d閏oulant des parasites, les prescriptions applicables ?l’閠ablissement de zones exemptes de parasites et d’autres textes qui donnent des directives sp閏ifiques sur des sujets li閟 ?l’Accord SPS.

Le Secr閠ariat de la CIPV est situ?au si鑗e de la FAO ?Rome. Pour plus de renseignements, pri鑢e de visiter le site Web de la CIPV ?l’adresse http://www.ippc.int.

  

  

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